lundi, mars 19, 2007

Pub-dove-evolution


Les fabriquants de la beauté !!!

dimanche, mars 18, 2007

aSmallWorld.net


Tentations découvre A small world, c'est le nom du site très fermé ou les milliardaires ou les célébrités du monde entier se retrouvent entre elles. Tentations enquête

jeudi, octobre 05, 2006

vendredi, septembre 01, 2006

Web 2.0 : le bon tuyau pour l'Internet.

Des fonds importants sont débloqués pour ce web qui élargit l'offre de technologies et de contenus et consacre le rôle de l'internaute.
Par Christophe ALIX et Laurent MAURIAC (à New York)
QUOTIDIEN : Mercredi 30 août 2006 - 06:00

Le Web 2.0 est devenu ces derniers temps le nouveau champ de bataille où s'affrontent start-up, géants de l'Internet et groupes de médias traditionnels dans leur quête de toujours plus d'audience et de revenus publicitaires. Dans ce deuxième âge d'un web parvenu à maturité, il ne se passe pas un jour sans que des milliers de «posts» sur les blogs ne viennent alimenter le buzz d'une nouvelle levée de fonds ou d'un rachat. Un mouvement démarré il y a un an, à l'été 2005, lorsque News Corp, le groupe de médias propriété de Rupert Murdoch avait aligné 580 millions de dollars pour le rachat d'Intermix et de sa pépite, le réseau social MySpace. Dans les médias américains, la notion de Web 2.0 est souvent associée à une nouvelle vague de création et de rachat, souvent à prix d'or, de start-up à nouveau dopées au capital-risque. C'est le cas de Netvibes, une société française indépendante, qui a levé 12 millions d'euros en août.

Les acquéreurs de ces start-up sont des groupes de médias comme NBC qui a racheté cette année ivillage (portail féminin) pour 600 millions de dollars et Tribe (réseau social) pour 50 millions. Ce sont également les mastodontes de l'Internet, à l'appétit vorace. Yahoo s'est emparé du site de partage de photos Flickr (35 millions de dollars) et de mise en commun d'adresses de sites web Del.icio.us. De son côté, eBay a racheté il y a un an le site de téléphonie par Internet Skype et vient de confier sa publicité à Google qui, pour sa part, a acquis le site de partage de photos Picasa et la société de cartographie Keyhole (à la base de la technologie Google Earth). Les montants engagés ne sont pas sans évoquer une nouvelle mini-bulle Internet.

900 millions de dollars. «La situation est différente», corrige le consultant en «économie du savoir» Jonathan Spira. Selon lui, «ce qui intéresse les acquéreurs, c'est de mettre la main sur des technologies innovantes ou sur un potentiel publicitaire». Celui de MySpace par exemple à qui Google versera 900 millions de dollars dans les quatre prochaines années pour s'assurer l'exclusivité de la fonction recherche et de la publicité. «Depuis la bulle, les investisseurs en capital-risque ne se laissent plus avaler par le battage , poursuit Jonathan Spira. Ce n'est pas ça qui dirige les investissements, c'est plutôt l'inverse.» Certains blogueurs, plus sévères, estiment que le point commun de ces sociétés est de mettre en avant le terme pour récolter les fonds. Ou de chercher à rentabiliser par la publicité un contenu fourni gratuitement par les utilisateurs. S'ils leur fournissent, également gratuitement, des outils très efficaces pour stocker et mettre en avant leurs photos ou vidéos personnelles sur l'Internet, des sites de partage et d'agrégation de contenus comme Flickr ou YouTube en tirent aussi de très substantiels revenus en truffant leurs pages de liens sponsorisés.

Ces derniers jours, les deux start-up les plus en vue au hit-parade du buzz étaient Digg. com (notation d'articles de presse) et surtout YouTube. Valorisé à 200 millions de dollars, le premier qui n'attire que 1,3 million de visiteurs uniques chaque mois aurait reçu des offres de Yahoo et d'AOL.

Vidéoclips. Véritable phénomène, le second qui est «à la vidéo ce que Myspace. com est au réseau de socialisation», selon Phil Leigh, du cabinet Inside Digital Media, vient de passer la barre des 100 millions de vidéos déposés par les internautes sur son site. Depuis juin, il diffuse même des émissions de NBC à la demande de ce dernier, et Warner cherche à obtenir le même traitement pour ses vidéoclips.
Ce ne sont plus les start-up qui sont demandeuses d'un accès aux grands médias pour la diffusion de leurs contenus, c'est l'inverse.

SOURCE
http://www.liberation.fr/actualite/evenement/
evenement1/201216.FR.php

mardi, août 29, 2006

Windows ne sera plus jamais Windows.

[DEBUT]
Vous le savez déjà, Windows Vista doit sortir à la fin de l’année pour les entreprises et au début de l’année 2007 pour les particuliers. Selon l’institut Gartner, il se pourrait que cette nouvelle version de Windows soit la dernière telle que nous la connaissons, c’est à dire la dernière à disposer d’une architecture monolithique, pendant que ses suites fonctionneront sur une architecture modulaire fondée sur la virtualisation accélérée matériellement.

Si vous n’avez rien compris à la phrase précédente (si si, elle a vraiment un sens), ce paragraphe vous concerne tout particulièrement. Le principe de virtualisation accélérée matériellement a été introduit par les constructeurs AMD et Intel en intégrant dans leurs derniers processeurs des circuits permettant cette fonction. Nommée Virtualisation Technology (ou Vanderpool Technology) chez Intel et Pacifica chez AMD, cette technique de virtualisation permet d’une part de lancer plusieurs serveurs ou systèmes d’exploitation sur une même machine, mais aussi et surtout de séparer et d’isoler les applications et les composants d’un système. Pour Microsoft, cela signifie une meilleure sécurité et une ouverture vers une meilleure gestion des applications et des composants par le système.

Cette technique devrait notamment permettre à Windows d’éviter de devenir instable après l’installation d’un module. Il se pourrait d’ailleurs que Windows Vista bénéficie lui aussi de cette avancée grâce à une mise à jour importante, qui devrait survenir selon Gartner à l’horizon 2008/2009. Cette mise à jour apporterait à Vista la possibilité de virtualisation grâce à un outil affublé du nom de code Hypervisor.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.infos-du-net.com/actualite/7790-virtual
isation-windows-vista.html


[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

lundi, juin 19, 2006

New Age of Classics Dream of Delight (2000)

[DEBUT]
Disabled people have it tough. Not only because of their reduced mobility, but because car manufacturers rarely design for them… rather they design around them. In other words, cars that disabled people drive were not designed with them in mind; they are regular cars that have been adapted so that the disabled can use them.

Not so with the Hungarian Kenguru. This small car was designed so that a wheelchair bound person can just roll in, and securely fasten their chair in place. It is then possible for them to simply drive off, without ever having to hoist themselves out of their wheelchair. The car is controlled via a joystick.

Since the site is Hungarian, I have no idea what price and availability look like, but there you have it.

[The Kenguru] VIA [The Cool Hunter]

Update: Ok, turns out it’s around $12,500, and possibly even free with healthcare if an individual qualifies. Go Hungary! -Ed.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.ohgizmo.com/2006/06/16/the-kenguru-a-car-designed-for-the-disabled/

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mardi, mai 30, 2006

Software Piracy Costs Industry $34 Billion

[DEBUT]

The Business Software Alliance (BSA) reported that the worldwide level of software piracy remained the same in 2005 as in 2004, but companies lost $1.6 billion more than the previous year. Estimates made by the BSA contend 35 percent of the software installed on personal computers worldwide is illegal software. The Alliance's annual study, conducted by IDC, of software piracy claimed global losses for software companies hit $34 billion in 2005. The rate of piracy decreased in the growing economic markets like China, India, and Russia. BSA also noted that Central and Eastern Europe, and the Middle East and Africa, had shown improvement as well. "This year marks the second year in a row where there has been a decrease in the PC software piracy rate in China. This is particularly significant, considering the vast PC growth taking place in the Chinese IT market," said BSA President and CEO Robert Holleyman. BSA listed the top five countries as having the worst piracy rates. The study claimed rates of 90 percent for Vietnam and Zimbabwe, 87 percent in Indonesia, and 86 percent for China and Pakistan. Software companies have taken steps to fight piracy. Microsoft (MSFT), probably the most widely victimized firm, has been using its Windows Genuine Advantage program to detect whether or not a copy of Windows on a PC has a legal license. Without a license, the PC can only download security updates from Microsoft, but no upgrades or other products for the operating system. The company has a program in place to assist people who unwittingly purchased a pirated copy of Windows or other Microsoft products. For Windows, Microsoft will provide a legal copy of the OS to those who have a receipt for the purchase of the unlicensed copy. The program has helped Microsoft investigate and bring legal action against companies that sell those counterfeit copies of its software.

[FIN]

[SOURCE]
http://www.internetfinancialnews.com/insiderreports/featured/ifn-2-20060524SoftwarePiracyCostsIndustry34Billion.html

[SAM]
NO COMMENTARY

AMD Spending $2.5B To Expand

[DEBUT]

The processor company plans to meet growing demand for its chips by investing $2.5 billion in its operations in Germany. AMD (AMD) will make that investment over a three year period in order to increase the production of its 300mm wafers, the company announced. The transition from 200mm to 300mm allows for more than twice as many processors on a wafer. The move comes in the wake of AMD's successful bid to gain a toehold in global PC leader Dell's (DELL) business. AMD and Dell recently disclosed a deal that will place AMD processors in Dell servers. It is the first time Dell has chosen to use chips by a manufacturer other than long-time supplier Intel (INTC). "As global demand continues to rise for AMD products, we are scaling our manufacturing capacity intelligently to meet our customers’ growing needs," said Hector Ruiz, chairman and chief executive officer of AMD. "These strategic investments highlight how significant Germany and Europe are to the future of AMD competitiveness." That strategy will see AMD match Intel in producing the 300mm wafers for its microprocessors. AMD produces 200mm wafers at the Dresden plant where the investment will take place. Production of the 200mm wafers will ramp down through the second half of 2007. AMD expects to have Dresden running at full capacity of 45,000 wafer starts per month by the end of 2008. On another part of the globe, AMD and two companies, Shenzhen Domain Network and Huawei Technologies, announced in Beijing that they would collaborate on online gaming in China. Shenzen, a leading online game carrier, will implement an AMD-based Telecommunications Standard Service Platform from Huawei Technologies. That arrangement aims at capitalizing on the popularity of online gaming in China, where thousands of gamers already participate in games and look forward to the next releases of titles. AMD is no stranger to gaming in the US, where its processors tend to find their way into very high-end PCs designed to play games with high detail and fast online response.

Yahoo The Winner In EBay Deal


[DEBUT]
Yahoo and eBay announced a multi-year partnership to the general applause of Wall Street, but the deal may be more one-sided than it appears. A message from eBay (EBAY) North America president Bill Cobb kicked the technology media into high gear. Yahoo (YHOO) and eBay would partner in a multi-year deal many are calling an alliance against Google as well as Microsoft. Yahoo appears to come out well ahead in the arrangement. As part of the deal, Yahoo gains the opportunity to display its profitable CPM advertising to eBay visitors. All graphical ads to appear on eBay will be delivered by Yahoo. The Nielsen//NetRatings report for April 2006 shows Yahoo reigns atop the top 10 brands visited by home and work Internet users. Yahoo's 105 million visitors have helped it become the dominant display advertising company on the web. This deal with eBay adds another potential 53 million viewers, eBay's April 2006 unique audience, to Yahoo's display advertising reach. The report also showed that eBay users spend an average time per person of one hour, 53 minutes on the site. Much has also been made of PayPal's part of the deal. Ebay's payment processing service will be Yahoo's payment processor, and marketed to Yahoo's merchants and publishers. Since eBay garners a fee for each transaction processed, an uptick in payments running through PayPal will be beneficial. But that part of the agreement may be just as important to Yahoo, though not so much as a 50 percent increase to its display ad-viewing audience. If Yahoo has been paying a third-party payment processor to do its credit card processing, the deal with eBay has to be one that provides Yahoo some cost savings per transaction. I thought Yahoo might go this route, but not with eBay as a partner. When Yahoo Japan disclosed it was in talks in that country to set up a joint online banking venture, I'd speculated Yahoo would look into a banking partnership here. Yahoo and eBay looked like they had overlap in the e-commerce businesses to me, but the appeal of PayPal's well-known name and adoption by millions of customers does make sense here. After implementation, it won't be surprising to see Yahoo's expenses move down when a following earnings announcement is made. Wal-Mart owns the global retail market, yet has been pursuing an institutional bank charter so it can do credit card processing itself rather than paying for the service. That indicates the significance of the expense associated with payment processing. Unfortunately, full details of that part of the deal are not available. They would make for interesting reading if they were. News of the deal was enough to push shares of both companies upward after the announcement.

[SAM]
NO COMMENTARY

mercredi, mai 10, 2006

Le billet de Pierre Chappaz : La France 2.0

[DEBUT]
Cette semaine après un court passage à Londres pour rencontrer plusieurs start-ups, je suis venu faire deux conférences sur le Web 2.0 et les medias, l'une à Capital IT mercredi et l'autre jeudi à la conférence Microsoft Mix.
Le salon Capital IT qui existe depuis les premiers temps de l'Internet en France a pour vocation de faire se rencontrer les entrepreneurs à la recherche de financements et les investisseurs, ces fameux capitaux-risqueurs qu'on appelle en anglais venture capitalists. La nuance sémantique est significative, puisqu'on parle ainsi en français d'investissement à risque, avec une connotation quelque peu négative, là où les Anglo-saxons disent venture (aventure) qui connote plutôt positivement. Il n'est pas inintéressant de noter ceci peu de semaines après l'épisode du CPE qui a montré — au-delà de l'arrogance maladroite du Premier ministre — combien la société française reste tétanisée face au chômage: les Gaulois se passionnent plus pour le droit du travail que pour la création d'entreprises et adorent traiter les méchants patrons de tous les noms! Pourtant, ce sont bien les entreprises qui parviendront peut-être un jour à faire reculer le chômage... Les jeunes devraient développer le plus possible leurs propres connaissances, leur curiosité naturelle, leur goût du risque pour entreprendre! Les Etats-Unis ont créé depuis deux générations des millions d'emplois dans les entreprises de technologie, qu'est-ce qui empêche la France et l'Europe d'en faire autant? certainement pas les compétences...alors quoi? le manque d'envie d'entreprendre! Je n'aurais donc pas dû être surpris comme je l'ai été du peu de dynamisme que j'ai perçu à ce salon Capital IT.
Alors que Les Etats-Unis connaissent une vague de création de nouveaux services web sans précédent depuis la fin des années 90, la France compte toujours les projets sur les doigts des deux mains. Pourtant, il n'a jamais été aussi facile d'entreprendre sur l'Internet: les technologies sont beaucoup plus puissantes et faciles d'emploi qu'il y a cinq ans, le budget nécessaire pour démarrer, même pour un projet relativement ambitieux, ne se compte plus en millions mais en quelques dizaines de milliers d'euros, les investisseurs tentés par l'aventure sont relativement nombreux et prêts à financer les bons projets... mais rien ne bouge ou presque. Il y a beaucoup trop peu de nouveaux venus dans le monde des créateurs de services Internet!
Rien de bouge? Ah! si! Chirac a confirmé cette semaine l'engloutissement de 250 millions d'euros de l'argent des contribuables dans un projet fumeux de moteur de recherche européen censé faire pièce à Google. Le hic, c'est que les entreprises sélectionnées pour bénéficier du robinet financier sont de vieilles boîtes dont le chef de file est Thomson, dont les préoccupations — et malheureusement aussi les compétences — se situent à des années lumières du Web. Ce projet chimérique illustre à nouveau l'incompétence du Président en matière de technologie (mais ça on le savait déjà). Là où c'est plus grave, c'est quand on pense qu'au lieu de gâcher une telle fortune au bénéfice de quelques mastodontes industriels du siècle dernier, Chirac aurait pu avec le même montant aider au financement de milliers de nouvelles start-ups, ce qui aurait transformé la France en véritable Silicon Valley 2.0 !
Mais le Président ne doit pas savoir que Yahoo! et Google ont tous deux été conçus dans une chambre d'étudiant par des entrepreneurs de 20 ans! Les mêmes qui ont ensuite trouvé auprès des capitaux-risqueurs les moyens de leur fantastique développement. Avec un nouveau Président (ou bien une) l'an prochain verrons-nous poindre cette France 2.0 seule capable de dépasser les blocages et de relancer la création d'entreprises tournées vers le futur?
Pierre Chappaz, fondateur du site Kelkoo et ancien patron de Yahoo Europe, conseille désormais le principal fonds d'investissement Internet en Europe, le genevois Index Ventures. Parallèlement à une activité de «business angel» qui lui fait investir avec Marc Andreesen — le fondateur de Netscape — et Martin Varsavsky — le créateur de FON (réseau wifi mondial) — dans Netvibes, il prépare un tout nouveau moteur de recherche d'informations, Wikio, qui sera ouvert au public dans les prochaines semaines. Pierre Chappaz tiendra chaque semaine une chronique sur Libération.fr pour nous faire vivre, décrypter et commenter la nouvelle frontière de l'Internet. JHLEn savoir (un peu) plus ici et là, sur Kelblog.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.liberation.fr/page.php?Article=378389#

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mardi, avril 11, 2006

L’UNEF veut maintenir la pression


[DEBUT]
Le remplacement du contrat première embauche (CPE) par un dispositif en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes en difficulté est une "première victoire", a déclaré le président de l’Unef. "Nous appelons à maintenir la pression jusqu’au vote par le Parlement de la suppression du CPE, y compris par le blocage des universités s’il le faut", a-t-il poursuivi. "Nous déciderons à la fois avec les syndicats et dans les assemblées générales des suites et des formes à donner à la mobilisation."
[FIN]

[SOURCE]
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=8791

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

Neuf Cegetel conteste la licence nationale Wimax de Free

[DEBUT]
Neuf Cegetel conteste devant le Conseil d'Etat l'attribution au groupe Iliad-Free de l'unique licence Wimax nationale via le rachat en février 2005 de la société Altitude Telecom. L'opérateurs de télécommunications, soutenu dans sa démarche par l'opérateur historique France Télécom, remet en cause d'une part les conditions de l'obtention de la licence par Altitude Telecom, et d'autre part les modalités du transfert de cette licence à Free. Ce recours intervient juste après que Free a dévoilé son offre Wimax
[FIN]

[SOURCE]
http://www.journaldunet.com/breve/france/2060/neuf-cegetel-conteste-la-licence-nationale-wimax-de-free.shtml
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

vendredi, février 10, 2006

Wi-Fi Phone Market to Hit $1.9 billion in 2009

[DEBUT]
The global market for Wi-Fi phones rose 76 percent in 2005 to $102.5 million, and will reach $1.9 billion in 2009, according to a report by Infonetics Research. The number of units shipped rose 112 percent last year, and will increase by 158 percent this year, the report adds.

Single-mode Wi-Fi-only phones accounted for two-thirds of last year's revenue, and dual-mode Wi-Fi-cellular handsets one-third, says Infonetics' Wi-Fi Phones Biannual Worldwide Market Share and Forecast. By 2009, that ratio will better than reverse, with dual-mode handsets accounting for approximately three-fourths of the total.

The original driver of Wi-Fi phone growth will be enterprises, according to Richard Webb, the report's author. That's mainly because such organizations already have large data networks with the capability to double as voice networks. The addition of mobility to the mix only makes such VoIP applications more valuable, he notes.

In time, however, voice over Wi-Fi, also knowns as VoWLAN, will become popular among consumers, Infonetics predicts, particularly when they can buy it as part of VoIP service bundled with broadband Internet access.

Such bundles become all the more attractive when they also include cellular services as part of the package.

One key to making cellular-Wi-Fi bundles work is dual-mode handsets that are almost as cheap as single-mode ones.

Equally important are network equipment and services that allow seamless handoffs between the two modes, so that phone calls begun on a cellular network can roam to Wi-Fi when the handset is near a hotspot, or vice versa, with no interruption.

At least one startup has begun building equipment specifically aimed at making that, and various other mixes of services, possible.

Such cellular-Wi-Fi convergence will also require service providers, especially mobile operators, to figure out a business model that will make roaming an opportunity to increase their voice revenues, rather than a threat to cannibalize them.
[FIN]

[SOURCE]
Written by Robert Poe
http://www.wireless-beat.com/content/view/144/

[SAM]
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mercredi, janvier 11, 2006

WiMax : après les candidatures, place à la sélection finale

[DEBUT]
45 acteurs persistent dans leur demande d'attribution de licences. Huit d'entre eux se montrent très ambitieux.
Philippe Guerrier, VNUnet.fr 10.01.2006

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Malgré de nombreux désistements dans les demandes d'autorisation d'utiliser les fréquences de BLR-WiMax (voir édition du 6 janvier 2006), il reste encore précisémment 45 acteurs ou groupement d'acteurs qui ont renouvelé leur intérêt pour acquérir une licence.

L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de diffuser la liste des prétendants en fonction des zones de couverture visées.

Huit sociétés se distinguent du lot avec des demandes sur plus de 18 régions : Bolloré, Clearwire France, France Télécom, HDDR Multi-Régions, Maxtel, Neuf Télécom, OT Wireless Europe et SFR.

Cinq sociétés visent un couverture WiMax sur plus de cinq régions : Comiums Services Ltd, e-Qual, MGP Contracting, Servip et Shaktiware. Mais le plus gros du bataillon (18 acteurs) demande à se concentrer sur une seule et unique région.

Dossier de sélection à boucler avant le 1er février

La phase de candidatures va s'achever pour passer à la sélection. Une étape nécessaire compte tenu de la rareté des fréquences constatée pour les 22 régions métropolitaines, la Guyane et Mayotte.

A nouveau, les prétendants sont sollicités pour boucler un dossier de sélection à rendre à l'Arcep avant le 1er février 2006 à midi.

Rappelons que, pour procéder à l'attribution définitive des licences, l'Arcep prendra en compte trois principaux critères de sélection : la contribution au développement territorial des services haut débit, l'aptitude du projet à favoriser la concurrence sur le haut débit et le montant de la redevance. Deux licences pourront être délivrées par zone de couverture régionale.

Saint-Pierre et Miquelon hors compétition

Exception à la procédure d'attribution sélective : seule la collectivité territoriale de Saint-Pierre et Miquelon échappe à la procédure de filtrage. L'Arcep estime qu'il y a suffisamment de fréquences disponibles par rapport à la demande pour initier une procédure de délivrance des autorisations au fil de l'eau.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.vnunet.fr/actualite/telecommunications/
technologie_sans_fil/20060110015

[SAM]
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mardi, janvier 10, 2006

Le PC qui sent la frite

dv
[DEBUT]
Dans la série des OVNI du tuning, le site Tom's Hardware publie une préparation très spéciale d'un PC basé sur un FX-55 et une 6800 Ultra. Il est toujours question d'optimiser le refroidissement et le silence. Ici, nous avons droit à de l'huile classique comme celle que vous avez peut-être mis dans votre friteuse ce midi pour refroidir les composants. En effet, ceux-ci trempent dans un bain d'huile qui favorise les échanges thermiques mieux que l'air. Et ça marche ! Le travail sur le boitier en plexiglass afin de le rendre complètement étanche est assez impressionant. Cependant, on se voit mal aller trafiquer toutes les cinq minutes dans un tel boîtier... Et si la même folie vous venait subitement, vous trouverez même une vidéo d'explication pour le montage.

Lire l'article sur Tom's Hardware (en anglais)
[FIN]

[SOURCE]
http://www.presence-pc.com/actualite/mod-huile-tuning-13875/

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mercredi, janvier 04, 2006

Google Module


[SAM]
Show last news from google blog with This Module

To have more Google Module click here.
[FIN]

mardi, janvier 03, 2006

L'inscription sur les listes électorales séduit les "quartiers"


[DEBUT]
C'est jour d'affluence, mardi 27 décembre, à la mairie de Nanterre (Hauts-de-Seine). Kamel, Noria, Mohamed, Tida, Malik et Zina ne se connaissent pas, mais ils sont tous venus ce jour-là pour la même raison : faire entendre leur voix lors des prochaines élections. Alors, comme la cinquantaine de jeunes qui se présentent chaque jour depuis début décembre, ils demandent aux services de la mairie de les inscrire sur les listes électorales.

Ce n'est pas l'appel des stars françaises du foot, du cinéma ou du rap, parrainé par le footballeur Lilian Thuram ou l'acteur Jamel Debbouze, qui a motivé ces jeunes issus des "quartiers" de Nanterre à se déplacer jusqu'à la mairie. C'est simplement la crise des banlieues, la "rage" qui s'est exprimée à ce moment-là et les mots qui ont été prononcés par certains hommes politiques. Zina, 21 ans, résume leurs certitudes : pour l'élection présidentielle, "en 2007, c'est ni Le Pen ni Sarko." "Je ne vais pas laisser ma voix à quelqu'un d'autre", affirme Malik. "On est français avant tout", renchérit Tida.

Kamel, 19 ans, s'est déplacé pour rien. Comme la plupart des Français de moins de 24 ans, il a bénéficié de la loi de 1997 qui prévoit que les jeunes recensés à l'âge de 16 ans, à l'occasion de la journée d'appel de préparation à la défense, bénéficient d'une inscription d'office dans leur mairie de résidence. Kamel n'a pas déménagé, il est donc bien inscrit à Nanterre. Tant pis, au moins il est sûr de pouvoir voter en 2007 "contre Le Pen et contre Sarko, qui nous a traités de racailles".
Mohamed est plus indulgent avec le ministre de l'intérieur. Certes, lui aussi, il a été "choqué" par ses propos. "Moi, quand j'utilise le Karcher, c'est pour enlever la saleté et ça me choque qu'on veuille nous décrasser", déplore-t-il. Mais il estime que "Sarkozy a été courageux d'aller à Clichy à la rencontre des habitants" ou encore que "la violence appelle la violence". Sans le mouvement de novembre, Mohamed serait de toute façon venu s'inscrire. A 26 ans, d'origine marocaine, il vient enfin d'obtenir la nationalité française. "Et je veux faire le max pour faire partie de cette citoyenneté, affirme-t-il. En plus, j'ai parfois le sentiment, quand on me demande mes papiers, que ma carte d'identité ne suffit pas. A la mairie où je travaille, ils m'ont demandé si j'avais ma carte d'électeur."

Noria, 21 ans, prépare un BTS en alternance. Elle est venue s'inscrire "parce que j'ai des frères et que j'ai compris leur colère". Mais, en réalité, cela faisait quelques mois déjà que l'envie de voter la démangeait. Depuis la consultation sur le traité constitutionnel européen, le 29 mai 2005. "J'ai regretté le référendum", explique-t-elle. Le résultat ? "Non, le fait de ne pas avoir pu ajouter mon "non" aux autres."

A 21 ans, Rachid a été traîné par son copain Malik, du même âge. Ce dernier s'explique : "C'est important de voter, pour répondre aux insultes et pour leur dire notre rage." Rachid sort alors de son silence : "C'est des conneries. Moi si je viens, c'est pas pour voter en 2007, c'est parce que si on se fait contrôler, c'est mieux ! Ma carte d'électeur, je la donnerai au prochain flic ou CRS qui m'interpellera."

Tida, elle, croit encore à la force de son bulletin de vote. Elle pense également que le contrat d'accompagnement vers l'emploi (CAE) qu'elle a signé dans un collège, le 1er décembre, elle le doit "à la crise des banlieues et aux réponses de Villepin". "Ça fait trois ans que j'ai arrêté l'école et là, ça y est, j'ai un vrai contrat d'un an avec une formation. C'est pour ça aussi que j'irai voter." Pour le premier ministre ? "Pourquoi pas, il a proposé des choses bien, c'est le contraire de Sarkozy qui incite à encore plus de violence", ajoute-t-elle.

Tida n'est pas la seule à établir une différence entre le chef du gouvernement et son ministre de l'intérieur. "Villepin, Sarko, c'est pas pareil, explique Zina : Villepin, c'est un homme de droite qui fait un peu une politique de gauche, Sarkozy, c'est un homme de droite qui fait une politique d'extrême droite."

Rien ne permet encore à la gauche de penser qu'elle profitera de cette mobilisation des banlieues. Jean-Pierre Campos, le maire adjoint (PCF) de Nanterre chargé des affaires générales, croit pour sa part que cette mobilisation citoyenne, qui a déjà permis de pulvériser le chiffre des 2 178 inscrits enregistrés en 2004, "évitera que se renouvelle l'expérience de mai 2002 avec la droite et l'extrême droite au deuxième tour". "On avait déjà enregistré une mobilisation des jeunes et des moins jeunes en 2002 pour s'inscrire sur les listes et je pense que la mobilisation actuelle est un nouveau signe", affirme-t-il. Il sera même là le samedi 31 décembre, dans l'après-midi, pour accueillir et féliciter les derniers inscrits de l'année.

Zina est plus sceptique que l'élu communiste : "A gauche, on attend toujours de savoir ce qu'ils proposent pour nous." Noria pense la même chose : "Je ne les ai pas entendus pendant les violences dans les banlieues. J'attends de voir."
[FIN]

[SOURCE]
Christophe Jakubyszyn
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-725191@51-723037,0.html

[SAM]
Chapeau bas...

Les AdSense victimes d'un cheval de Troie


[DEBUT]
Les AdSense, liens sponsorisés contextuels de Google, sont actuellement victimes d'un virus de type "Cheval de Troie" découvert la semaine dernière par Raoul Bangera, un créateur de sites web indien. Ce virus remplace, sur l'ordinateur de l'internaute qui en est infecté, les liens sponsorisés "normaux", issus de Google, par des liens redirigeant vers des sites pornographiques, des casinos, des sites de rencontres, d'achat de viagra et autres joyeusetés... Sous Explorer, le problème est quasi indétectable (si ce n'est que les publicités affichées n'auront aucun rapport avec le contenu de la page) mais sous Firefox, quelques bugs d'affichage semblent subsister. Pour l'instant, Google a confirmé qu'il existait un problème mais aucune solution ne semble disponible. Cependant, le problème semblerait encore peu répandu. Seule solution pour le moment : utiliser un antivirus à jour !
[FIN]

[SOURCE]
http://actu.abondance.com/2006-01/google-virus.php
de
http://www.techshout.com/internet/2005/27/a-trojan-
horse-program-that-targets-google-ads-has-been-detected
-by-an-indian-web-publisher/


[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

RFID en 2005

[DEBUT]
“RFID est une technologie à part. Potentiellement, elle peut servir à tout, et peut même devenir parfaitement pervasive et omniprésente, à un point jamais atteint par une autre technologie sans fil auparavant.”

Le “potentiellement” demeure d’actualité en 2005 – nous n’avions heureusement pas prétendu le contraire. Il convient toutefois de bien séparer les applications de cette technologie, dans l’étiquettage des produits et la distribution d’un côté, dans de multiples autres domaines de l’autre.

Au plan industriel, les puces d’identification à radio-fréquence se répandent, le marché croît (de 39%, à 504 millions de dollars, si l’on en croît Gartner), mais pas de manière explosive. Après Wal-Mart et le Département de la Défense américain en 2004, aucune très grande organisation ne s’est engagée de manière volontariste en 2005. Au fond, 2005 marque une première consolidation, disons, intellectuelle : les entreprises ont surtout appris à mieux évaluer le rapport coût-avantage de RFID. Le coût des puces et des lecteurs demeure en effet significatif quand il s’agit de tracer individuellement des produits. L’interopérabilité, tant au niveau technique qu’à celui des codes d’identification, demeure imparfaite. Enfin, dans les entreprises qui avaient déjà adopté à grande échelle des dispositifs de traçage, basculer vers RFID représente un investissement lourd en informatique, en logistique et en organisation. Cela conduit Gartner à prédire que “les étiquettes RFID ne remplaceront pas les codes-barre” et qu’à court terme en tout cas, RFID sera principalement exploité dans de nouvelles applications, qu’en substitution à des dispositifs existants. Les secteurs de la santé, la pharmacie et la logistique seraient les premiers concernés, notamment pour la gestion d’équipements et le suivi de véhicules ainsi que de palettes.

Pour autant, RFID continue d’étendre son emprise. Au Japon, la carte sans contact Felica fait désormais office de billet de train et de spectacle, de porte-monnaie, etc. Les robots domestiques japonais apprennent à lire celles qui équipent les maisons pour se repérer sans recourir à des logiciels encore très imparfaits de reconnaissance de forme. Même aux Etats-Unis, là où est pourtant né le débat le plus critique à l’encontre de RFID en matière de respect de la vie privée, on voit des entreprises se spécialiser dans la commercialisation de serrures électroniques, permettant d’ouvrir la porte de son domicile avec un téléphone mobile équipé d’une puce ad hoc. Et, à compter d’octobre 2006, tous les passeports des citoyens états-uniens seront équipés d’une puce RFID.

Même si les réticences vis-à-vis de RFID demeurent vives, elles s’expriment d’une manière moins spectaculaire qu’en 2004. Dans plusieurs communications à la Cnil, Philippe Lemoine a tenté de résumer les “quatre pièges qui concourent à minorer le risque que présente cette technologie en matière de protection des données personnelles et de la vie privée : l’insignifiance [apparente] des données, la priorité donnée aux objets [en apparence toujours vis-à-vis des personnes], la logique de mondialisation [normalisation technologique basée sur un concept américain de « privacy » sans prise en compte des principes européens de protection de la vie privée] et enfin le risque de « non vigilance » individuelle [présence et activation invisibles].”

C’est sans doute une bonne manière d’aborder la recherche d’un équilibre, mais force est de constater que RFID se répand, se généralise et fait partie du quotidien de nombreux citoyens, qui ne semblent pas en être dérangés outre mesure, ni se passionner pour le sujet.
[FIN]

[SOURCE]
par Cyril Fiévet
http://www.internetactu.net/?p=6274

[SAM]
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lundi, janvier 02, 2006

Windows: la faille 'WMF' est copieusement exploitée

[DEBUT]
On devait s'y attendre: 'hackers' et autres amateurs de piraterie ont profité de la situation.

Les uns après les autres, la plupart des éditeurs de logiciels de sécurité avertissent la communauté Internet de l'exploitation massive de la dernière faille non corrigée impactant toutes les versions de Windows.

Rappelons que cette vulnérabilité est causée par un problème dans la gestion des fichiers Windows Metafile (WMF). Les métafichiers de Windows (Windows Metafiles) sont des fichiers d'image employés par des applications populaires telles que Microsoft Word.

En amenant l'utilisateur à visualiser une page WMF piégée via Windows Picture and Fax Viewer ou via Internet Explorer, il est possible d'injecter du code malicieux et de transformer la machine touchée en PC zombie. Son code a été rendu public ce qui a facilité le travail des pirates.

Selon les spécialistes, il existerait déjà plus de 50 variantes de l'exploit. La faille est utilisée pour installer des spywares, chevaux de Troie, des vers et dex virus). Pire, le danger existe aussi avec des fichiers .wmf dont l'extension a été modifiée en .jpg par exemple.

Selon F-Secure, des utilisateurs peuvent être infectés simplement en visitant un site Web avec un fichier d'image contenant l'exploit de WMF. Les utilisateurs d'Internet Explorer ont un plus grand risque d'infection automatique tandis que les utilisateurs de Firefox et d'Opéra sont interrogés pour savoir s'ils veulent ouvrir l'image WMF, ou non. Ils sont alors également infectés s'ils répondent « oui ».

Pour Mikko Hypponen, responsable de recherche de l'éditeur "jusqu'ici, nous avons seulement vu cette menace étant utilisée pour installer des spywares ou des antispyware et antivirus truqués sur les machines affectées. J'ai peur que nous voyons apparaître de vrais virus exploitant cette faille bientôt. Jusqu'à présent nous avons identifié 70 versions différentes des fichiers malveillants WMF."

Et d'ajouter que la faille de WMF a été employée avec une motivation criminelle claire pour installer le spyware et pour duper les consommateurs ordinaires dans le but de leur faire acheter de faux produits de sécurité pour leurs ordinateurs.

Chez Microsoft, on assure travailler sur un patch...
[FIN]

[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13098

[LIENS]
Faille critique dans Windows
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13081

[SAM]
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vendredi, décembre 30, 2005

Intel change officiellement de logo 'adieu Inside'


[DEBUT]
C'est effectivement aujourd'hui qu'Intel change son logo vieux de 37 ans, afin d'adopter un logo plus moderne qui évince au passage le célèbre slogan de la marque « Intel Inside ». Ce changement coincide aussi avec l'arrivée prochaine de nouveaux processeurs qui n'utiliseront pas la célèbre marque « Pentium » mais une dénomination liée à leur composition : « Core Solo », pour les processeurs mono-core et « Core Duo », pour les processeurs dual-core.

Intel cherche aussi à mettre en avant sa nouvelle marque « ViiV » dédiée aux PC multimédia / platine de salon. Voici, pour rappel, la planche des nouveaux logos qui devrait être employée par Intel pour ses futurs processeurs, on notera la présence du nouveau logo de la firme en haut à gauche :



[FIN]

[SOURCE]
http://www.clubic.com/actualite-30480-intel-change-officiellement-de-logo-adieu-inside.html

[SAM]
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Le stockage holographique

[DEBUT]
Attendus à la fin 2006, de nouveaux supports s'appuyant sur des techniques optiques s'annoncent prometteurs. Notamment dans le domaine de l'archivage.

Prévus pour 2003, puis pour 2005, les systèmes de stockage holographique devraient finalement être disponibles à la fin 2006. Inphase, spin off des Bell Labs associée au fabricant Maxell, a présenté il y a quelques jours Tapestry. Ce prototype stocke 300 Go sur un disque optique au format CD, à une vitesse de lecture de 20 Mo/s.

Son seul concurrent, le japonais Optware, proposera des disques similaires dès 2006.

Stocker 1,6 To de données

Sur un tel disque, l'information est inscrite sous forme d'hologramme au coeur d'un cristal photosensible (deux couches de photopolymère entre deux disques de plastique conducteur). L'écriture des données nécessite l'emploi d'un laser, dont la lumière est divisée en deux faisceaux : un faisceau de référence et un faisceau objet.

Le faisceau objet traverse un écran à cristaux liquides, sur lequel les données à stocker sont représentées (un pixel noir pour un 0, et un blanc pour un 1). Le faisceau est ensuite dirigé vers le cristal photosensible. La rencontre avec le faisceau de référence crée un motif d'interférence, un hologramme. En modifiant l'angle du faisceau de référence, de nouvelles données peuvent être stockées dans le même volume du cristal. La lecture se fait par rééclairage du cristal avec le faisceau de référence.

La capacité d'un disque pourrait atteindre 1,6 To. Dès 2006, un premier standard devrait apparaître. En effet, l'organisme Ecma a créé une cellule en janvier dernier dans ce but précis. Elle regroupe des sociétés telles que Sony, IBM, Philips, Hitachi, Panasonic, Toshiba et, bien sûr, Inphase et Optware.

Les trois technologies concurrentes

Les limites du disque holographique

Un stockage définitif

Pour l'instant, ce type de support holographique est réservé à l'archivage : les premiers disques ne sont pas réinscriptibles. Ce qui en limite leur utilisation. Le stockage holographique se place néanmoins en concurrence directe avec des technologies optiques de type Blu-Ray, mais aussi avec des technologies de bandes.

Des performances liées au format du support

Comparées à celles des autres technologies concurrentes, les performances des disques holographiques ne sont pas encore au rendez-vous. Tout l'intérêt du stockage holographique réside dans l'exploitation de l'épaisseur du support, qui offre la possibilité de stocker plus d'informations que sur les disques Blu-Ray.

Jusqu'il y a peu, on était capable d'empiler un grand nombre d'hologrammes dans un même volume de matériau de plusieurs centimètres cubes, avec de forts débits et de courts temps d'accès. Mais selon le laboratoire Charles Fabry, de l'Institut d'optique d'Orsay, une seule pile d'hologrammes ne permettait pas d'obtenir de grandes densités d'information. En effet, la capacité limite n'est atteinte que si l'épaisseur du matériau holographique est de l'ordre de la profondeur de champ des images (qui correspondent aux pages de données) à enregistrer.

Du coup, c'est avec un matériau mince, et donc un faisceau très focalisé, que l'on obtient les plus grandes densités. C'est pourquoi ce sont des disques optiques de l'ordre du millimètre qui ont été préférés. Mais la capacité atteinte en juxtaposant plusieurs piles d'hologrammes croît ainsi au détriment du temps d'accès.
[FIN]

[SOURCE]

[LIENS]

[SAM]
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mercredi, décembre 28, 2005

DE PLUS EN PLUS DE PAUVRES DANS LE MONDE ?


[DEBUT]
La plupart des Français et des medias estiment que, demain, il y aura de plus en plus de pauvres dans le monde ; pourtant, telle n'est pas la réalité de l'évolution récente, ni des perspectives des années à venir ; encore faut-il le démontrer : rien de plus simple ! Mais d'abord, disons que le seuil de 2 dollars par jour utilisé le plu souvent pour définir la pauvreté n'est pas très pertinent : le coût de la vie est différent d'un pays à l'autre et le dollar a un pouvoir d'achat différent selon les pays ; mieux vaut donc utiliser des indicateurs plus significatifs, d'autant plus qu'ils existent !

On peut choisir la méthode utilisée pour calculer le taux de pauvreté monétaire à l'intérieur de chaque pays, c'est à dire considérer qu'un pays pauvre est un pays dont le PIB par tête est inférieur à la moitié (ou à la médiane) du PIB mondial moyen. Si on veut connaître l'évolution de 1990 à 2002, les pays pauvres en 1990 sont ceux dont le PIB-PPA par tête est inférieur à 2490 dollars-PPA, c'est à dire à la moitié du PIB mondial moyen de 1990, et en 2002, les pays pauvres sont ceux dont le PIB-PPA par tête est inférieur à 3902 dolars-PPA, c'est à dire à la moitié du PIB mondial moyen de 2002 ; Cette méthode donne les résultats suivants : les 75 pays pauvres ainsi dénombrés en 1990 regroupaient 64 % de la population mondiale, et les 69 pays pauvres ainsi dénombrés en 2002 regroupaient 30 % de la population mondial ; comment peut-on, dans ces conditions, affirmer que le nombre de pauvres ne cesse d'augmenter, alors que le nombre d'habitants des pays pauvres a été divisé par plus de deux ?

On peut également utiliser l'indicateur de développement humain (IDH) du PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement). Cet indicateur a l'avantage de se fonder, non seulement sur des indicateurs monétaires, mais aussi sur l'espérance de vie à la naissance et sur le degré d'instruction des habitants de chaque pays ; cela permet de situer la pauvreté d'un pays beaucoup mieux qu'à partir des seuls 2 dollars par jour ! Grâce à cet indice, on peut suivre l'évolution du nombre de pays à " développement humain faible " qui sont sans aucun doute les pays les plus pauvres du monde ; quels sont les résultats entre 1990 et 2002 ? En 1990, 62 pays regroupant 1920 millions d'habitants souffraient d'un développement humain faible ; en 2002, dernière année connue, 36 pays, regroupant 756 millions d'habitants, avaient un développement humain faible. Comment peut-on affirmer, à partir de ces chiffres, que la situation ne cesse de s'aggraver ?

Cet indice permet également de suivre l'évolution du nombre de pays à " développement humain élevé ", pays qui rassemblent généralement 3 caractéristiques : ils bénéficient d'un PIB par tête, calculé selon la parité de pouvoir d'achat, de plus de 10 000 dollars ; ils scolarisent plus de 90 % de leurs enfants et ont une moyenne d'espérance de vie à la naissance proche de 75 ans. " Aujourd'hui, 48 pays rassemblant un peu plus de 1 milliard d'habitants, soit un peu moins de 20 % de la population mondiale, entrent dans cette catégorie ; pour l'avenir, une simple projection permet de montrer que les perspectives sont loin d'être alarmantes : dans 10 ans, c'est à dire entre 2010 et 2015, on peut affirmer que près de 2 milliards de personnes sur les 7 milliards d'habitants de notre planète bénéficieront d'un développement humain élevé : il suffira que les pays qui ont actuellement un PIB - PPA de proche de 7 000 dollars connaissent une croissance moyenne de 3 % pour qu'ils atteignent 10 000 dollars par tête ; il s'agira en particulier de la Russie, du Brésil, de la Malaisie, de l'Afrique du Sud, de la Turquie et des PECO qui sont actuellement classés dans la catégorie des pays à développement humain moyen … Ce sont donc plusieurs centaines de millions de personnes supplémentaires qui bénéficieront alors d'un développement humain élevé, et le total des personnes concernées sera bien alors de près de 2 milliards. Entre 2020 et 2025, ce sera au tour de la Chine d'accéder, avec quelques autres pays (notamment du Maghreb et d'Amérique latine), au développement humain élevé, grâce à une croissance annuelle qui ne sera sans doute plus de 7 à 8 % par an, mais plus vraisemblablement de 5 % par an. Ce sont alors 4 milliards de personnes, sur les 7,5 à 8 milliards d'habitants que comptera alors notre planète, qui auront accédé au développement humain élevé, soit une personne sur deux, en attendant l'Inde pour la décennie suivante !

Un troisième indicateur va dans le même sens : il s'agit de " l'indicateur de pauvreté humaine et salariale " (IPH) du PNUD : cet indicateur permet de calculer le pourcentage de " pauvres " des pays en développement, en prenant en considération 4 facteurs : la pauvreté monétaire (pourcentage de la population au dessous de la moitié du revenu moyen ou médian), la probabilité à la naissance de mourir avant 40 ans, le taux d'analphabétisme des adultes, l'insuffisance pondérale des enfants ; concernant l'évolution récente, nous ne pouvons comparer 2002 qu'avec 1995, puisque la première parution de cet indicateur concerne 1995 ; les résultats sont les suivants : l'IPH de la Chine (1,3 milliards d'habitants) est passé de 17,1 en 1995 à 13,1 en 2002 ; l'IPH de l'Inde (1 milliard d'habitants) est passé de 35,9 à 31,4 ; l'IPH de l'Indonésie (217 millions d'habitants) est passé de 20,2 à 17,8 ; l'IPH du Nigeria (121 millions d'habitants) est passé de 40,5 à 35,1 … Il est vrai que, parmi les pays à développement humain faible en 2002, 11 ont un IPH plus élevé en 2002 qu'en 1995, mais ces pays ne regroupent que 160 millions d'habitants !

Bref, tous les chiffres montrent qu'il y a de moins en moins de pays pauvres et de moins en moins de pauvres dans le monde, et tout indique que cette tendance va continuer ; comment se fait-il que tout le monde ou presque affirme l'inverse ?
[FIN]

[SOURCE]
http://www.globeco.fr/pluspauvres.htm

[SAM]
Quelle honte !!

mardi, décembre 27, 2005

Web 2.0? It doesn't exist

[BEGIN]
No, I am not turning into a "flat-earther." The world is pear-shaped, Pluto is not a planet, and global warming exists.

But Web 2.0 does not exist.

The advances being touted under the general umbrella of Web 2.0- advances written about with considerable skill on our own Web 2.0 Explorer Blog by our own Richard MacManus - well, of course those advances exist. RSS, Social Media, content aggregation, podcasting, you have it.
My problem is not with the characterization of the components of Web 2.0. It is the implication inherent in the very livery, "Web 2.0," that I just don't get.

How did we get here? First of all, Web 2.0 is a marketing slogan. For perspective on this, let us go to what some would call a creature of Web 2.0 itself- Wikipedia. Here's what Wikipedia has to say about this Web 2.0:

The term "Web 2.0" refers to what some people see as a second phase of development of the World Wide Web, including its architecture and its applications. It was coined by Dale Dougherty during a meeting between O'Reilly and Associates (a computer book publisher) and MediaLive International (an event organizer) as a marketable term for a series of conferences.
There you have it. A slogan. Most marketers have them.
The problem I have with this "Web 2.0" slogan is that it is a contrivance, meant to imply a unified movement or wave toward a better Web. Just the very numbering of the thing brings out my moo-goo detector: 1.0 sounds like a beginning. 2.0 (as opposed to a tenth-decimal, such as 1.7 or a 2.4 implies - by its very roundness, a coordinated, standards-based, like-minded rebirth, reconstruction, renaissance, resurrection, whatever you want to call it. 2.0 is the ideal number for such an impression: it implies a concerted, noble effort at refreshing an inspired, but now aging, creation. even "3.0" implies, well, we didn't get it right the first time, 2.0 was transitory and is getting long in the tooth, so here we are transitioning to 3.0. But 2.0 sounds good.

Well, Web 2.0 is bunk. Not that the elements of this rebirth aren't there. I write about some of them, and Richard has them nailed. It's just that they cannot be classified under a common umbrella. They are forward lurches of various standards and technologies, some compatible, some not. Some revolutionary, some evolutionary, some impractical. Some are collaborative, others are highly competitive with each other.

Now, I'll point out what the Wikipedia article describes Web 2.0 consists of. The article attributes the elements of Web 2.0 as "one or more of the following:
"A transition of websites from isolated information silos to sources of content and functionality, thus becoming a computing platform serving web applications to end users;

A social phenomenon referring to an approach to creating and distributing Web content itself, characterized by open communication, decentralization of authority, freedom to share and re-use, and "the market as a conversation";

A more organized and categorized content, with a more developed deeplinking web architecture.;

A shift in economic value of the web, potentially equalling that of the dot com boom of the late 1990s.

Wow, that's one broad umbrella. My problem with all this is not that the changes described in each of these points aren't real, it is just that many of these changes are incremental, and only related to each other in the broadest, most general sense.

That is, until some clever marketers wanting to charge a fortune for you to attend their conferences dreamed this one up. Dreamed Web 2.0 up as a nice-off-the-tongue, easily memorable descriptor for come to our conferences, learn about what's hot.
Or, as Wikipedia puts it:

Skeptics argue that the term is essentially meaningless, or that it means whatever its proponents decide that they want it to mean in order to convince the media and investors that they are creating something fundamentally new, rather than continuing to develop and use well-established technologies.

Well-put, Wikipedia! Your thoughts?
.
.
[END]

[SOURCE]
http://blogs.zdnet.com/ip-telephony/?p=805

[SAM]
NO CONNENT

Bush was using the NSA to spy on Americans, in America, without court orders.

[BEGIN]
Have you been following the business in Washington? Bush was using the NSA to spy on Americans, in America, without court orders. I just listened to Meet the Press, and what a crock the way Secretary of State Rice dodged the issues. What utter disregard for the Constitution. We live in a police state, and all the mentions of 9-11 can't explain away what they did. Even the Republicans are pissed and scared.

Financial Times: "Jimmy Wales, Wikipedia's founder, said a new 'stable' version of the reference would be added to the site and audited to ensure its accuracy."

I took a quick look at the Google Talk API stuff, and realized quickly that it doesn't help me. They're trying to extend Jabber in some way, which is nice, but what I want is an endpoint that I can send XML-RPC messages to to have them be routed through the Google Talk network. I want them to hide all the complexity behind a super-simple interface so I can build applications that run on their network. I want to do Instant Outlining, and use their infrastructure to transport the packets. Wouldn't that be cool? Why not let me help you lock in your network? Oh well. I'll keep waiting. (Or maybe they want to hire someone to integrate this into the Frontier kernel? Seems the long way around.)

There's a blogger's dinner on the 30th in Palo Alto, courtesy of Scoble. I'll be there for sure.
Rogers Cadenhead: "Another person obsessively monitoring his own biography is Wikipedia founder Jimmy Wales, who has edited it frequently, removing references to a credited 'co-founder' of the encyclopedia and obscuring the nature of a pornographic web site he once published."

News.com: "A new online information service launching in early 2006 aims to build on the model of free online encyclopedia Wikipedia by inviting acknowledged experts in a range of subjects to review material contributed by the general public."

Important news. Ross Rader of Blogware and Matt Mullenweg of WordPress are participating in the discussion about blogging tools interop. As Ross says, all it takes is two vendors to make it happen. I'm willing to be the glue, and I can also help by supporting interop in the OPML Editor. I've been writing about this for many years, it would be great to see the users finally get real choice.

Great Santa picture, but warning -- not for people who are truly into the spirit of the holiday. I went to my first Christmas party last night. Someone asked if I was enjoying the holiday season so far. I said yes, I hadn't really noticed it this year. It's the same old thing, as you get older the time goes faster. So really this year's Christmas just melts in with last year's. Life is one big Christmas. Ho ho ho.

I saw that Ron Bloom was interviewed on Business Week and, according to Heather Green, he commented on Adam Curry's editing of the Wikipedia entry on Podcasting. I'm going to avoid the angst and skip the podcast.
[END]

[SOURCE]
http://www.scripting.com/2005/12/19.html#busted

[SAM]
NO COMMENT

vendredi, décembre 23, 2005

Sarkozy ne veut pas de leçons de Jamel Debbouze ou Lilian Thuram


[DEBUT]
Le ministre français de l'Intérieur Nicolas Sarkozy estime ne pas avoir de leçons à recevoir de la part des célébrités issues de l'immigration qui l'ont critiqué. Il a cité Jamel Debbouze, Lilian Thuram ou encore Joey Starr.

"Je ne reconnais aucun titre à Joey Starr, compte tenu de son passé, ni à Jamel Debbouze de me donner des leçons de droits de l'homme ou de respect des autres", déclare-t-il dans un entretien à "Libération". "Nous pouvons comparer nos bilans".

Le rappeur Joey Starr et l'humoriste Jamel Debbouze se sont récemment mobilisés pour inviter les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales et à voter.

Nicolas Sarkozy considère par ailleurs qu'il connaît "un peu mieux ce qui se passe dans les banlieues françaises" que le footballeur Lilian Thuram, qui l'avait accusé de jouer le jeu du Front national. "M. Thuram, ça fait bien longtemps qu'il n'a pas été dans les banlieues. Il vit en Italie, avec un salaire qui le regarde", dit-il à propos du champion de la Juventus de Turin.

Nicolas Sarkozy se défend d'être extrémiste et de faire le jeu du Front National. "Je ne me mets pas dans le camp des extrêmes. Jamais personne ne m'y a mis, d'ailleurs", déclare le président de l'UMP.

Depuis son arrivée place Beauvau, le ministre de l'Intérieur affirme avoir "porté des débats qui, dans nombre de cas, étaient en opposition frontale avec le Front national". Il prend pour exemple la discrimination positive, qu'il oppose à l'immigration zéro prônée par le parti de Jean-Marie Le Pen.

Il rappelle qu'il est favorable au vote des étrangers aux élections municipales ainsi qu'à une meilleure représentation de l'islam en France.
[FIN]

[SOURCE]
http://fr.bluewin.ch/infos/index.php/international/i/20051223:brf055

[LIENS]
Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur et président de l'UMP :
«Je connais mieux ce qui se passe en banlieue que Thuram»
http://www.liberation.fr/page.php?Article=347064

[SAM]
On verra le resultat en 2007 !!!

Japon: plus besoin de carte de visite avec la poignée de main "high-tech"


[DEBUT]
Le rite de l'échange des cartes de visites va peut-être devenir obsolète grâce à une invention nippone, qui permet à deux personnes de voir s'inscrire automatiquement sur leur téléphone portable le nom et les fonctions de leur interlocuteur rien qu'en se serrant la main.

Cette technologie, mise au point par le géant japonais de la téléphonie NTT, consiste à employer le corps humain comme vecteur de transmission de données en faisant circuler dans les membres un courant électrique de très faible voltage.

Deux personnes équipées d'un boîtier spécial d'un poids de 50 grammes pourront ainsi, par simple contact corporel, voir s'afficher les coordonnées de leur interlocuteur sur leur téléphone ou sur leur agenda électronique.

"L'information sera datée comme un courrier électronique, ce qui aidera à se souvenir de quelles ont été les personnes rencontrées et à constituer un carnet d'adresses", a expliqué à l'AFP Tadashi Monotani, chercheur chez NTT.

La technologie, baptisée RedTacton, sera mise en pratique d'ici deux ou trois ans. Selon NTT, elle pourra trouver un grand nombre d'autres applications, comme faire sonner un signal d'alarme au moment où une personne touche une boîte d'un médicament qui lui est interdit.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.msn.fr/news/tec/?or=afprtrs&cat=tec&id=051222093333.prl9lz77.asp

[SAM]
Ils sont fous ces Japonais

Vers une interopérabilité universelle via Festoon ?

[DEBUT]
La société Santa Cruz Networks a lancé hier Festoon Unity. Qu’est ce donc ? Festoon Unity permet aux utilisateurs de différents services de messagerie de se parler et de se voir.
Ainsi, un utilisateur de Google Talk pourrait converser avec un utilisateur d’MSN Messenger de même qu’un utilisateur de Yahoo Messenger pourrait faire de même avec un utilisateur d’AIM.

" Les gens n'ont pas besoin d'avoir le même programme e-mail ou la même compagnie téléphonique pour s'envoyer des messages ou s'appeler" , explique Itzik Cohen, PDG de Santa Cruz Networks.
" Nous pensons que cela devrait être aussi simple que les communications vocales ou vidéo. Festoon Unity permet de connecter différents services de messagerie instantanée de façon à ce que les utilisateurs puissent s'appeler indépendamment des services et de façon aussi simple qu'envoyer un message instantané un email."

Extrait du communiqué de presse publié hier :"Grâce à Festoon, les utilisateurs IM peuvent effectuer en toute sécurité des appels vocaux et vidéos en groupes de plusieurs centaines tout en partageant des photos, des tableurs, des présentations ou des applications avec les autres participants à l'appel. Pour les prochaines versions, les utilisateurs seront en mesure de télécharger des effets vidéos supplémentaires, accéder à notre bibliothèque de personnalités et de papier peint et plus encore. En plus de Festoon Unity, d'autres nouvelles fonctionnalités de cette remise à niveau comprennent, entre autres, une vitesse vidéo considérablement améliorée, la synchronisation voix-vidéo, une audio de groupe améliorée, le support automatique du proxy ainsi que plusieurs nouvelles personnalisations EyeCandy ".

Sachez qu’aujourd’hui, Festoon permet de connecter les utilisateurs de Skype et de Google Talk. Cependant, début 2006, Festoon Unity devrait s’appliquer à AOL Instant Messenger (AIM), Yahoo! Messenger et MSN Messenger.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.mess-france.com/actualite_649_vers-une-interoperabilite-universelle-via-festoon-.html
[LIENS]

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

Les fondateurs de Google hommes de l'année pour le Financial Times


[DEBUT]
Les fondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page, 32 ans tous les deux, ont été désignés hommes de l'année par le Financial Times pour l'impact que le moteur de recherche, créé il y a 7 ans, a eu sur les internautes, a annoncé vendredi le quotidien économique britannique.

Le journal relève également la valeur croissante de Google sur le marché des actions où la compagnie vaut maintenant 130 milliards de dollars (109,5 milliards d'euros) ce qui la place au même niveau qu'IBM et juste derrière Microsoft et Intel.
Selon le FT, les autres candidats au titre d'homme de l'année était le Premier ministre japonais Junichiro Koizumi et le président ukrainien Victor Iouchtchenko.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.msn.fr/news/tec/?or=afprtrs%26cat=tec%26id
=051223065826.zr7tlu9e.asp


[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

Bilan 2005 des attaques visant les messageries instantanées

[DEBUT]
Le site IMLogic publie régulièrement des informations sur les menaces virales et autres durant l’année. L’occasion pour nous en cette fin d’année de dresser un petit bilan sur les cotés obscurs du monde de la messagerie instantanée, bilan qui n'est pas des plus rassurants...

Croissance des menaces de 1500 % entre 2004 et 2005



Si l’on regarde d’une manière globale le nombre de menaces apparues en 2005 comme le montre le graphique ci-après, on remarque une croissance vertigineuse de 1500%... guère rassurant. Quand on garde à l’esprit que la plupart des vers subissent x mutations (ou variantes dirons nous) en un minimum de temps (exemple de Bropia), on peut comprendre d’une certaine manière ce nombre croissant.

Cibles de ces 3 derniers mois



Si l’on zoom plus précisément sur les cibles de ces menaces de virus et cie sur ces 3 derniers mois, on remarque qu’elles concernent principalement AIM. MSN arrive en deuxième position.
Cibles de l’année 2005Cependant (et c'est plus parlant), si l’on regarde l’ensemble de l’année 2005, on se rend compte qu’MSN Messenger arrive largement en tête des cibles avec 57.5% des attaques (MSN Messenger et Windows Messenger réunis). 1 attaque sur 2 vise donc directement le réseau MSN, logique cependant puisque MSN Messenger est aujourd’hui l’une des messageries instantanées les + utilisée au monde (1er en France). Si l’on cherche à nuire, autant visant le plus grand nombre non ?



Sur ce graphique, vous remarquerez bien évidemment l’absence du petit dernier Google Talk.
Avec le jeu des alliances récents des différents acteurs du monde de la messagerie instantanée (MSN+ Yahoo, Google + AIM + "Jabber"), tout porte à croire que ce (triste) paysage changera en 2006… et contribuera une fois de plus à renforcer la vigilance de chaque utilisateur. L’année 2006 sera-t’elle un bon cru pour nos ver(re)s ? Les paris sont ouverts.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.mess-france.com/actualite_646_bilan-2005-
des-attaques-visant-les-messageries-instantanees.html

[LIENS]
IMLogic

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Quinze événements qui ont fait l'année 2005

[DEBUT]
Le rachat de Skype par eBay, de Lastminute par Sabre, de Tiscali par Alice ou encore de Cegetel par Neuf Telecom, les IPO de Meetic et Rue du Commerce, le cartel de opérateurs mobiles, l'ouverture du ".eu", le lancement de MSN Keywords... L'année 2005 en 15 événements marquants.

Les 15 événements qui ont fait 2005

1. eBay : cap sur la croissance externe
Le site d'enchères américain a donné un coup d'accélérateur à sa croissance en 2005, passant à l'offensive en termes d'acquisitions. Si le rachat de l'éditeur de solutions de VoIP Skype, pour 3,3 milliards d'euros (lire l'article du 13/09/05), a certainement été l'opération de fusion-acquisition la plus commentée de l'année, eBay a également mis la main cette année sur le shopbot Shopping.com (620 millions de dollars), la branche sécurisation des paiements de Verisign (360 millions de dollars), le site de petites annonces Gumtree.com, et Opusforum. eBay, qui avait fait profil bas sur les acquisitions depuis Paypal en 2002, attend de ces opérations de fortes synergies pour se renforcer dans le commerce électronique et le micro-paiement.

2. Meetic et Rue du Commerce en Bourse
2005 aura marqué le retour en grâce des valeurs Internet en Bourse. A ce titre, les deux introductions les plus importantes de l'année, et les seules sur le marché principal Eurolist, sont celles des deux pure players Rue du Commerce et Meetic. Le site marchand spécialisé dans la vente de matériel high-tech s'est introduit à un cours de 15,60 euros le titre, ce qui valorisait la société à 167,4 millions d'euros (lire l'article du 03/10/05). Quant au titre du site de rencontres, il cotait 22,30 euros pour sa première journée, valorisant la société 367,3 millions d'euros (lire l'article du 14/10/05). Au 21 décembre, les titres Rue du Commerce et Meetic avaient progressé respectivement de 5,9 % et 33,3 %. Ces deux IPO resteront le symbole de la bonne santé du secteur cette année, signe que le développement des start-ups peut à nouveau se financer sur les marchés.

3. Les opérateurs mobiles à l'amende
Fin de vacances agité pour les opérateurs mobiles. En ce mois d’août, le Canard Enchaîné et le Parisien révèlent les extraits d’une enquête de la DGCCRF qui font l’effet d’une bombe : Orange, SFR et Bouygues Telecom auraient échangé des informations confidentielles et se seraient entendus sur leurs parts de marché respectives durant plusieurs années. Verdict, quatre mois plus tard : 534 millions d’euros d’amende pour ce qui, depuis, a été désigné comme le "cartel mobile" par l’UFC-Que Choisir (lire l’article du 02/12/2005). En attendant la décision en appel. Mais, paradoxalement, la bombe du mois d’août pourrait bien faire le bonheur des opérateurs. La justice pourrait voir, dans la divulgation du dossier, un vice de forme. C’est en tout cas le souhait des opérateurs. Et la plus lourde sanction prononcée en France pour pratiques anti-concurrentielles pourrait ainsi ne jamais aboutir.

4. La Chine, nouvel eldorado d'Internet
Avec la deuxième population internaute du monde et un potentiel de croissance énorme (moins de 8 % des foyers sont connectés), la Chine attire toujours plus les convoitises des acteurs Internet américains. En août 2005, Yahoo a fortement accentué sa présence dans le pays, prenant 40 % du site marchand Alibaba, bien implanté dans le secteur de l’e-commerce BtoB, en croissance annuelle de 95 % (lire l'article du 12/08/05). Le très fort intérêt pour l’Internet chinois se retrouve aussi dans l’entrée spectaculaire de Baidu au Nasdaq. Le premier jour de son IPO, le 5 août 2005, le titre du moteur de recherche chinois, dont Google possède 2,6 %, gagnait 354 %, un chiffre digne de l’âge d’or des dotcom. L’opération a rapporté 109 millions de dollars (lire l'article du 09/08/05).

5. Mariage à l'italienne
Après plusieurs mois de rumeurs sur les éventuels repreneurs de Liberty Surf, la filiale française déficitaire du FAI italien Tiscali, c'est Telecom Italia qui a finalement remporté la partie. Montant des gains : 266 millions d'euros. Les deux groupes ont officialisé leur accord le mardi 5 avril 2005 (lire l'article du 07/04/05). Près de trois ans après avoir vendu dans un mouvement de recentrage sa filiale française 9Telecom au groupe Louis Dreyfus, puis retraversé les Alpes en novembre 2003 avec le lancement de l'offre d'accès Internet Alice, Telecom Italia a pris durablement position sur le marché français. La preuve : un investissement de 350 millions d'euros sur trois ans dans le déploiement de sa propre infrastructure pour le dégroupage. Le 1er septembre 2005, la marque Tiscali a disparu au profit d'Alice.

6. Neuf épouse Cegetel
Après deux tentatives de rapprochement en 2004, Cegetel, filiale de SFR et de la SNCF, et Neuf Telecom, filiale du groupe Louis Dreyfus, sont finalement parvenus à un accord : le 10 mai dernier, les deux groupes ont officiellement annoncé leur fusion. La nouvelle entité a pris le nom de Neuf Cegetel et est désormais détenue à 72 % par les actionnaires de Neuf Telecom et à 28 % par SFR, lui-même filiale de Vivendi Universal (lire l'article du 12/05/05). D'un point de vue commercial, les deux marques sont restées distinctes, mais s'appuient sur un réseau commun de transport de voix et de données IP. Le mariage des deux groupes a reçu le feu vert de Bercy le 12 août 2005. Neuf Cegetel a par ailleurs confirmé son intention de s'introduire en bourse le plus rapidement possible, d'ici le début 2007, afin d'accompagner sa croissance.

7. Opodo s'empare de Karavel et de Vivacances
Les grandes manœuvres attendues sur le marché du voyage en ligne ne se sont pas fait attendre. Dès février, Opodo a annoncé le rachat de Karavel pour un montant de 60 millions d'euros (lire l'article du 03/02/05). Cette acquisition offrait à la filiale d'Amadeus le moyen d'enrichir son offre sur le segment des séjours packagés, via le site Promovacances, ainsi qu'un renforcement de sa position sur le marché français. Dans un second temps, Amadeus s'est dessaisi en juillet de ses 79 % de parts dans Vivacances et Opodo a lui racheté la totalité des parts plus celles de Galeries Lafayette. Vivacances a donc rejoint le portefeuille de marques rassemblées sous la houlette d'Opodo. Le nouvel ensemble vise un chiffre d'affaires de 430 à 470 millions d'euros sur 2005.

8. Sabre fait main basse sur Lastminute
Attisant les convoitises sur un marché en pleine consolidation, Lastminute a finalement été racheté pour 1,03 milliard de dollars par Travelocity Europe, la filiale européenne du GDS Sabre (lire l'article du 13/05/05). Par ce rachat, Sabre peut prétendre prendre part à la bataille que se livrent en Europe les poids lourds du secteur du tourisme en ligne. Le processus d'acquisition de la société a été initié au mois de mai et s'est finalisé fin juillet. Les deux entités françaises sont regroupées sous la marque Lastminute.com, et Pierre Alzon, en assure la direction. Toutefois, Odysia, la marque française de Travelocity, continue d'exister.

9. Les premières expériences de TV sur mobile
Le rêve des patrons de chaînes de TV et des "couch potatoes" de pouvoir regarder la télévision partout est-il en train de se réaliser ? En cette année 2005, en tout cas, sont apparus de nouveaux comportements. Place au quatrième écran : après le cinéma, la télévision et l’ordinateur, le téléphone portable s’impose de plus en plus comme un objet vidéo à part entière. Le lancement de la 3G et d’Edge l’ont rendu possible. Mais l’explosion est prévue avec le DVB-H ou le DNB, dont les premiers tests ont démarré cette année (voir le diaporama). Reste désormais à trouver un modèle économique qui satisfasse à la fois l’utilisateur, les opérateurs mobiles, les constructeurs de terminaux et les chaînes de télévision, de plus en plus intéressées par le secteur.

10. VOD : accord entre le cinéma et les FAI
Après plus d'un an d'âpres négociations, les fournisseurs d'accès Internet et les professionnels du cinéma français sont finalement parvenus à un accord sur la constitution d'une offre légale de vidéo à la demande (VOD) sur Internet. Signé le 20 décembre, ce "protocole d'accord interprofessionnel" fixe la fenêtre de la VOD à 33 semaines après la sortie des films en salle. Les films pourront être vendus à l'acte ou à l'abonnement, en streaming ou en téléchargement définitif. L'accord garantit une rémunération minimale des ayants droit sur une base de 50 % pour les nouveautés et 30 % pour les œuvres de catalogue, et une contribution des FAI au financement du cinéma européen de 5 %, dont 3,5 % pour les œuvres en langue française (lire l'article du 22/12/05).

11. MSN lance son offre de liens sponsorisés
Baptisée MSN Keywords, la solution du portail vient se substituer à celle du réseau Overture, même si l'accord de partenariat entre les deux acteurs continue à courir jusqu'en juin 2006, en particulier pour ce qui est des liens contextuels (une solution que ne propose pas encore MSN Keywords). Une nouvelle plate-forme publicitaire, AdCenter, accompagne ce lancement pour offrir aux annonceurs un point d'entrée unique aux diverses offres publicitaires de MSN (lire l'article du 27/09/05). Ce lancement permet au portail de raccrocher avec ses deux concurrents, Yahoo et Google, en ce qui concerne les revenus publicitaires. AdCenter proposant par ailleurs de nouvelles solutions de ciblage, l'entrée de MSN sur ce marché très concurrentiel annonce aussi les prochains enjeux du secteur en 2006, qui devrait voir se développer des outils de ciblage comportemental.

12. Google écrase la bourse
Certains ne peuvent vraiment pas se plaindre de cette année 2005… Les actionnaires de Google, par exemple, qui ont vu la valeur de leur portefeuille augmenter de 123 % en un an. Car le moteur de recherche aura été l’un des principaux animateurs du Nasdaq, au point d’entrer dans le cercle fermé du Nasdaq-100 (lire l’article du 13/12/2005). Sous la barre des 200 dollars fin 2004, le titre a ensuite connu une ascension régulière, jusqu’à flirter avec les 450 dollars lors des dernières séances de l’année. La valorisation de Google atteint désormais des sommets jamais vus pour une société Internet : au cours de cette année 2005, elle a allègrement dépassé les 100 milliards de dollars et lorgne aujourd’hui vers les 150. Certains y voient un retour de la bulle, d’autres la preuve de la maturité du marché.

13. InterActiveCorp mute
2005 aura été décisive pour le conglomérat de Barry Diller. Après des années d'expansion pendant lesquelles InterActiveCorp (IAC) n'a cessé d'avaler des acteurs majeurs du Web américain, sur des marchés tels que la banque en ligne, l'immobilier, la billetterie ou encore le tourisme, le colosse s'est séparé, en août 2005, de ses activités voyages, regroupées depuis dans une spin-off baptisée Expedia (lire l'article du 05/08/05). Objectifs : consolider le cours de bourse d'IAC malmené par les fluctuations du tourisme et le départ de collaborateurs, et donner les moyens à cette activité de financer son développement en Europe. Auparavant, IAC avait complété son empire en rachetant pour 1,9 milliards de dollars, le moteur de recherche américain Ask Jeeves (lire l'article du 23/03/05), afin de se positionner sur le marché de la recherche localisée, nouvelle niche de croissance de la publicité en ligne.

14. Lancement du ".eu"
L’idée d’une extension européenne était dans l’air depuis 1999, mais il aura fallu presque sept ans de consultations et de négociations pour finaliser le ".eu", régulé par l’Eurid (European Registry for Internet Domains). L’extension a été validée en mars 2005 par l’Icann, l’organisme international qui régule le nommage sur Internet. En mai, le site de l’Eurid devient le premier ".eu". Seules les entreprises, organisations ou personnes physiques établies dans l’Union peuvent prétendre au ".eu". Le 11 décembre s’est ouverte la phase d’enregistrement prioritaire, dite de "sunrise", pour les propriétaires de marques déposées. Les Etats-membres avaient déjà réservés 1.400 noms de domaines géographiques. Depuis, plus de 105.000 noms de domaines ont été demandés, parmi lesquels "sex" arrive largement en tête, suivi de "hotel".

15. Droits d'auteurs, P2P : Le Parlement s'apprête à trancher
Faute de n'avoir pas transposé à temps la directive européenne de mai 2001 sur l'harmonisation de certains aspects du droit d'auteur et des droits voisins dans la société de l'information (DADVSI), le gouvernement français a décrété une procédure d'urgence pour faire adopter, d'ici la fin de l'année, par l'Assemblée nationale un projet de loi pour mieux protéger les œuvres sur Internet. Systèmes de gestion des droits, responsabilité pénale des éditeurs de logiciels de P2P, droit à la copie privée, logiciel libre sont au cœur de ce débat qui a débuté le 20 décembre dernier et qui oppose les représentants des ayants droits aux associations de consommateurs, aux défenseurs du logiciel libre et aux responsables de bibliothèques (lire l'article du 20/12/05). La partie s'annonce serrée et sans doute plus longue de prévue car les députés ont adopté peu avant minuit, le mercredi 21 décembre, des amendements légalisant les échanges de fichiers sur Internet via le P2P.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.journaldunet.com/0512/051223evenements2005.shtml

[SAM]
Merci "Le Journal du Net".

Microsoft et Google : accord sur le 'cerveau' Kai-Fu Lee


[DEBUT]
Les deux géants Microsoft et Google mettent fin au conflit judiciaire qui les oppose sur l'ingénieur chinois Kai-Fu Lee.

Microsoft et Google mettent fin à la bataille judiciaire qui les opposait sur ce que le premier qualifiait de 'vol de cerveaux' et qui n'était pour le second qu'un simple recrutement.

Rappel des faits : en juillet dernier, Google annonce l'ouverture d'un centre de recherche-développement en Chine, afin d'y attirer des cerveaux pour créer de nouveaux produits. Jusque-là, rien à dire. Mais pour diriger ce centre, Google a décidé de recruter un scientifique, présenté comme "un pionnier de l'industrie" informatique en Chine, le Dr Kai-Fu Lee.

Sauf que ce docteur a été récemment vice-président de Microsoft après avoir fondé le centre de recherches chinois (380 scientifiques) du numéro un mondial des logiciels.

En août, Microsoft obtient d'un juge une 'ordonnance restrictive temporaire' qui impose au docteur Lee d'apporter la preuve qu'il exerce chez Google d'autres activités que celles qu'il exerçait chez l'éditeur, en contrepartie d''accords de confidentialité et de non concurrence' contractuelles signées par ledit docteur. En clair, il peut travailler chez Google mais en faisant autre chose que de la recherche...

Puis le monde ébahi apprend les propos tenus par Steve Ballmer, patron de Microsoft, en réaction au départ d'un autre ancien salarié chez Google. Des propos rapportés par le moteur à la cour en charge du procès qui l'oppose à Microsoft.

Selon ce document, Steve Ballmer serait entré dans une rage folle à l'annonce du départ de Mark Lucovsky pour Google, en 2004. Les propos attribués à Ballmer sont hauts en couleur... " Putain, je vais enterrer ce mec. Je l'ai déjà fait et je le referai. Putain, je vais tuer Google". ("I'm going to fucking kill Google").

Ballmer dément mollement mais lance une accusation de poids: Kai-Fu Lee aurait transmis à Google des informations confidentielles sur Microsoft, avant même d'avoir quitté ce dernier."

Peu de temps après avoir proposé ses services à Google, et encore employé par Microsoft, le Docteur Lee a expédié à Google un document qu'il préparait pour Steve Ballmer intitulé 'Making it in China', après avoir retiré la mention 'Microsoft confidential' et effectué d'autres changements", une accusation grave portée par Microsoft.

Mais les arguments n'auront pas convaincu le juge de la cour supérieure de King County, Washington, qui a autorisé Kai-Fu Lee à mettre en place un centre de recherche en Chine.

"Microsoft n'a pas suffisamment démontré qu'il peut légalement, ou sans enfreindre les droits de M. Lee, l'empêcher de mettre sur pied un centre de développement pour Google en Chine et d'y embaucher du personnel", a expliqué le juge.

Néanmoins, la victoire n'était pas totale pour Google. Le Docteur ne pourra pas débaucher des employés de Microsoft pour les faire travailler chez Google. Par ailleurs, il ne pourra pas prendre de décisions sur la stratégie liée aux recherches et sur le choix du budget. Ce qui limitera quelque peu son champ d'action... Il lui est également interdit de livrer une quelconque information lié à son ancien poste chez Bill Gates.

De plus, cette décision n'était que temporaire. Le procès sur le fond devait avoir lieu en janvier 2006. Pour autant, la situation se présentait mal pour Google.

Mais Microsoft et Google, dont le conflit et les décisions de justice ne faisaient qu'envenimer les relations - pour peu qu'il y ait eu entre les deux géants – ont fini par s'entendre.

Certes, les termes de l'accord n'ont pas été révélés et restent confidentiels, mais chez les trois protagonistes de l'affaire, on affirme qu'ils sont satisfaisants.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13021

[LIENS]
Affaire Kai-Fu Lee: victoire en demi-teinte pour Google
Affaire Kai-Fu Lee (suite) : la riposte de Microsoft
Kai-Fu Lee : la bataille fait rage entre Google et Microsoft

[SAM]
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