jeudi, octobre 05, 2006

vendredi, septembre 01, 2006

Web 2.0 : le bon tuyau pour l'Internet.

Des fonds importants sont débloqués pour ce web qui élargit l'offre de technologies et de contenus et consacre le rôle de l'internaute.
Par Christophe ALIX et Laurent MAURIAC (à New York)
QUOTIDIEN : Mercredi 30 août 2006 - 06:00

Le Web 2.0 est devenu ces derniers temps le nouveau champ de bataille où s'affrontent start-up, géants de l'Internet et groupes de médias traditionnels dans leur quête de toujours plus d'audience et de revenus publicitaires. Dans ce deuxième âge d'un web parvenu à maturité, il ne se passe pas un jour sans que des milliers de «posts» sur les blogs ne viennent alimenter le buzz d'une nouvelle levée de fonds ou d'un rachat. Un mouvement démarré il y a un an, à l'été 2005, lorsque News Corp, le groupe de médias propriété de Rupert Murdoch avait aligné 580 millions de dollars pour le rachat d'Intermix et de sa pépite, le réseau social MySpace. Dans les médias américains, la notion de Web 2.0 est souvent associée à une nouvelle vague de création et de rachat, souvent à prix d'or, de start-up à nouveau dopées au capital-risque. C'est le cas de Netvibes, une société française indépendante, qui a levé 12 millions d'euros en août.

Les acquéreurs de ces start-up sont des groupes de médias comme NBC qui a racheté cette année ivillage (portail féminin) pour 600 millions de dollars et Tribe (réseau social) pour 50 millions. Ce sont également les mastodontes de l'Internet, à l'appétit vorace. Yahoo s'est emparé du site de partage de photos Flickr (35 millions de dollars) et de mise en commun d'adresses de sites web Del.icio.us. De son côté, eBay a racheté il y a un an le site de téléphonie par Internet Skype et vient de confier sa publicité à Google qui, pour sa part, a acquis le site de partage de photos Picasa et la société de cartographie Keyhole (à la base de la technologie Google Earth). Les montants engagés ne sont pas sans évoquer une nouvelle mini-bulle Internet.

900 millions de dollars. «La situation est différente», corrige le consultant en «économie du savoir» Jonathan Spira. Selon lui, «ce qui intéresse les acquéreurs, c'est de mettre la main sur des technologies innovantes ou sur un potentiel publicitaire». Celui de MySpace par exemple à qui Google versera 900 millions de dollars dans les quatre prochaines années pour s'assurer l'exclusivité de la fonction recherche et de la publicité. «Depuis la bulle, les investisseurs en capital-risque ne se laissent plus avaler par le battage , poursuit Jonathan Spira. Ce n'est pas ça qui dirige les investissements, c'est plutôt l'inverse.» Certains blogueurs, plus sévères, estiment que le point commun de ces sociétés est de mettre en avant le terme pour récolter les fonds. Ou de chercher à rentabiliser par la publicité un contenu fourni gratuitement par les utilisateurs. S'ils leur fournissent, également gratuitement, des outils très efficaces pour stocker et mettre en avant leurs photos ou vidéos personnelles sur l'Internet, des sites de partage et d'agrégation de contenus comme Flickr ou YouTube en tirent aussi de très substantiels revenus en truffant leurs pages de liens sponsorisés.

Ces derniers jours, les deux start-up les plus en vue au hit-parade du buzz étaient Digg. com (notation d'articles de presse) et surtout YouTube. Valorisé à 200 millions de dollars, le premier qui n'attire que 1,3 million de visiteurs uniques chaque mois aurait reçu des offres de Yahoo et d'AOL.

Vidéoclips. Véritable phénomène, le second qui est «à la vidéo ce que Myspace. com est au réseau de socialisation», selon Phil Leigh, du cabinet Inside Digital Media, vient de passer la barre des 100 millions de vidéos déposés par les internautes sur son site. Depuis juin, il diffuse même des émissions de NBC à la demande de ce dernier, et Warner cherche à obtenir le même traitement pour ses vidéoclips.
Ce ne sont plus les start-up qui sont demandeuses d'un accès aux grands médias pour la diffusion de leurs contenus, c'est l'inverse.

SOURCE
http://www.liberation.fr/actualite/evenement/
evenement1/201216.FR.php

mardi, août 29, 2006

Windows ne sera plus jamais Windows.

[DEBUT]
Vous le savez déjà, Windows Vista doit sortir à la fin de l’année pour les entreprises et au début de l’année 2007 pour les particuliers. Selon l’institut Gartner, il se pourrait que cette nouvelle version de Windows soit la dernière telle que nous la connaissons, c’est à dire la dernière à disposer d’une architecture monolithique, pendant que ses suites fonctionneront sur une architecture modulaire fondée sur la virtualisation accélérée matériellement.

Si vous n’avez rien compris à la phrase précédente (si si, elle a vraiment un sens), ce paragraphe vous concerne tout particulièrement. Le principe de virtualisation accélérée matériellement a été introduit par les constructeurs AMD et Intel en intégrant dans leurs derniers processeurs des circuits permettant cette fonction. Nommée Virtualisation Technology (ou Vanderpool Technology) chez Intel et Pacifica chez AMD, cette technique de virtualisation permet d’une part de lancer plusieurs serveurs ou systèmes d’exploitation sur une même machine, mais aussi et surtout de séparer et d’isoler les applications et les composants d’un système. Pour Microsoft, cela signifie une meilleure sécurité et une ouverture vers une meilleure gestion des applications et des composants par le système.

Cette technique devrait notamment permettre à Windows d’éviter de devenir instable après l’installation d’un module. Il se pourrait d’ailleurs que Windows Vista bénéficie lui aussi de cette avancée grâce à une mise à jour importante, qui devrait survenir selon Gartner à l’horizon 2008/2009. Cette mise à jour apporterait à Vista la possibilité de virtualisation grâce à un outil affublé du nom de code Hypervisor.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.infos-du-net.com/actualite/7790-virtual
isation-windows-vista.html


[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

lundi, juin 19, 2006

New Age of Classics Dream of Delight (2000)

[DEBUT]
Disabled people have it tough. Not only because of their reduced mobility, but because car manufacturers rarely design for them… rather they design around them. In other words, cars that disabled people drive were not designed with them in mind; they are regular cars that have been adapted so that the disabled can use them.

Not so with the Hungarian Kenguru. This small car was designed so that a wheelchair bound person can just roll in, and securely fasten their chair in place. It is then possible for them to simply drive off, without ever having to hoist themselves out of their wheelchair. The car is controlled via a joystick.

Since the site is Hungarian, I have no idea what price and availability look like, but there you have it.

[The Kenguru] VIA [The Cool Hunter]

Update: Ok, turns out it’s around $12,500, and possibly even free with healthcare if an individual qualifies. Go Hungary! -Ed.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.ohgizmo.com/2006/06/16/the-kenguru-a-car-designed-for-the-disabled/

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mardi, mai 30, 2006

Software Piracy Costs Industry $34 Billion

[DEBUT]

The Business Software Alliance (BSA) reported that the worldwide level of software piracy remained the same in 2005 as in 2004, but companies lost $1.6 billion more than the previous year. Estimates made by the BSA contend 35 percent of the software installed on personal computers worldwide is illegal software. The Alliance's annual study, conducted by IDC, of software piracy claimed global losses for software companies hit $34 billion in 2005. The rate of piracy decreased in the growing economic markets like China, India, and Russia. BSA also noted that Central and Eastern Europe, and the Middle East and Africa, had shown improvement as well. "This year marks the second year in a row where there has been a decrease in the PC software piracy rate in China. This is particularly significant, considering the vast PC growth taking place in the Chinese IT market," said BSA President and CEO Robert Holleyman. BSA listed the top five countries as having the worst piracy rates. The study claimed rates of 90 percent for Vietnam and Zimbabwe, 87 percent in Indonesia, and 86 percent for China and Pakistan. Software companies have taken steps to fight piracy. Microsoft (MSFT), probably the most widely victimized firm, has been using its Windows Genuine Advantage program to detect whether or not a copy of Windows on a PC has a legal license. Without a license, the PC can only download security updates from Microsoft, but no upgrades or other products for the operating system. The company has a program in place to assist people who unwittingly purchased a pirated copy of Windows or other Microsoft products. For Windows, Microsoft will provide a legal copy of the OS to those who have a receipt for the purchase of the unlicensed copy. The program has helped Microsoft investigate and bring legal action against companies that sell those counterfeit copies of its software.

[FIN]

[SOURCE]
http://www.internetfinancialnews.com/insiderreports/featured/ifn-2-20060524SoftwarePiracyCostsIndustry34Billion.html

[SAM]
NO COMMENTARY

AMD Spending $2.5B To Expand

[DEBUT]

The processor company plans to meet growing demand for its chips by investing $2.5 billion in its operations in Germany. AMD (AMD) will make that investment over a three year period in order to increase the production of its 300mm wafers, the company announced. The transition from 200mm to 300mm allows for more than twice as many processors on a wafer. The move comes in the wake of AMD's successful bid to gain a toehold in global PC leader Dell's (DELL) business. AMD and Dell recently disclosed a deal that will place AMD processors in Dell servers. It is the first time Dell has chosen to use chips by a manufacturer other than long-time supplier Intel (INTC). "As global demand continues to rise for AMD products, we are scaling our manufacturing capacity intelligently to meet our customers’ growing needs," said Hector Ruiz, chairman and chief executive officer of AMD. "These strategic investments highlight how significant Germany and Europe are to the future of AMD competitiveness." That strategy will see AMD match Intel in producing the 300mm wafers for its microprocessors. AMD produces 200mm wafers at the Dresden plant where the investment will take place. Production of the 200mm wafers will ramp down through the second half of 2007. AMD expects to have Dresden running at full capacity of 45,000 wafer starts per month by the end of 2008. On another part of the globe, AMD and two companies, Shenzhen Domain Network and Huawei Technologies, announced in Beijing that they would collaborate on online gaming in China. Shenzen, a leading online game carrier, will implement an AMD-based Telecommunications Standard Service Platform from Huawei Technologies. That arrangement aims at capitalizing on the popularity of online gaming in China, where thousands of gamers already participate in games and look forward to the next releases of titles. AMD is no stranger to gaming in the US, where its processors tend to find their way into very high-end PCs designed to play games with high detail and fast online response.

Yahoo The Winner In EBay Deal


[DEBUT]
Yahoo and eBay announced a multi-year partnership to the general applause of Wall Street, but the deal may be more one-sided than it appears. A message from eBay (EBAY) North America president Bill Cobb kicked the technology media into high gear. Yahoo (YHOO) and eBay would partner in a multi-year deal many are calling an alliance against Google as well as Microsoft. Yahoo appears to come out well ahead in the arrangement. As part of the deal, Yahoo gains the opportunity to display its profitable CPM advertising to eBay visitors. All graphical ads to appear on eBay will be delivered by Yahoo. The Nielsen//NetRatings report for April 2006 shows Yahoo reigns atop the top 10 brands visited by home and work Internet users. Yahoo's 105 million visitors have helped it become the dominant display advertising company on the web. This deal with eBay adds another potential 53 million viewers, eBay's April 2006 unique audience, to Yahoo's display advertising reach. The report also showed that eBay users spend an average time per person of one hour, 53 minutes on the site. Much has also been made of PayPal's part of the deal. Ebay's payment processing service will be Yahoo's payment processor, and marketed to Yahoo's merchants and publishers. Since eBay garners a fee for each transaction processed, an uptick in payments running through PayPal will be beneficial. But that part of the agreement may be just as important to Yahoo, though not so much as a 50 percent increase to its display ad-viewing audience. If Yahoo has been paying a third-party payment processor to do its credit card processing, the deal with eBay has to be one that provides Yahoo some cost savings per transaction. I thought Yahoo might go this route, but not with eBay as a partner. When Yahoo Japan disclosed it was in talks in that country to set up a joint online banking venture, I'd speculated Yahoo would look into a banking partnership here. Yahoo and eBay looked like they had overlap in the e-commerce businesses to me, but the appeal of PayPal's well-known name and adoption by millions of customers does make sense here. After implementation, it won't be surprising to see Yahoo's expenses move down when a following earnings announcement is made. Wal-Mart owns the global retail market, yet has been pursuing an institutional bank charter so it can do credit card processing itself rather than paying for the service. That indicates the significance of the expense associated with payment processing. Unfortunately, full details of that part of the deal are not available. They would make for interesting reading if they were. News of the deal was enough to push shares of both companies upward after the announcement.

[SAM]
NO COMMENTARY

mercredi, mai 10, 2006

Le billet de Pierre Chappaz : La France 2.0

[DEBUT]
Cette semaine après un court passage à Londres pour rencontrer plusieurs start-ups, je suis venu faire deux conférences sur le Web 2.0 et les medias, l'une à Capital IT mercredi et l'autre jeudi à la conférence Microsoft Mix.
Le salon Capital IT qui existe depuis les premiers temps de l'Internet en France a pour vocation de faire se rencontrer les entrepreneurs à la recherche de financements et les investisseurs, ces fameux capitaux-risqueurs qu'on appelle en anglais venture capitalists. La nuance sémantique est significative, puisqu'on parle ainsi en français d'investissement à risque, avec une connotation quelque peu négative, là où les Anglo-saxons disent venture (aventure) qui connote plutôt positivement. Il n'est pas inintéressant de noter ceci peu de semaines après l'épisode du CPE qui a montré — au-delà de l'arrogance maladroite du Premier ministre — combien la société française reste tétanisée face au chômage: les Gaulois se passionnent plus pour le droit du travail que pour la création d'entreprises et adorent traiter les méchants patrons de tous les noms! Pourtant, ce sont bien les entreprises qui parviendront peut-être un jour à faire reculer le chômage... Les jeunes devraient développer le plus possible leurs propres connaissances, leur curiosité naturelle, leur goût du risque pour entreprendre! Les Etats-Unis ont créé depuis deux générations des millions d'emplois dans les entreprises de technologie, qu'est-ce qui empêche la France et l'Europe d'en faire autant? certainement pas les compétences...alors quoi? le manque d'envie d'entreprendre! Je n'aurais donc pas dû être surpris comme je l'ai été du peu de dynamisme que j'ai perçu à ce salon Capital IT.
Alors que Les Etats-Unis connaissent une vague de création de nouveaux services web sans précédent depuis la fin des années 90, la France compte toujours les projets sur les doigts des deux mains. Pourtant, il n'a jamais été aussi facile d'entreprendre sur l'Internet: les technologies sont beaucoup plus puissantes et faciles d'emploi qu'il y a cinq ans, le budget nécessaire pour démarrer, même pour un projet relativement ambitieux, ne se compte plus en millions mais en quelques dizaines de milliers d'euros, les investisseurs tentés par l'aventure sont relativement nombreux et prêts à financer les bons projets... mais rien ne bouge ou presque. Il y a beaucoup trop peu de nouveaux venus dans le monde des créateurs de services Internet!
Rien de bouge? Ah! si! Chirac a confirmé cette semaine l'engloutissement de 250 millions d'euros de l'argent des contribuables dans un projet fumeux de moteur de recherche européen censé faire pièce à Google. Le hic, c'est que les entreprises sélectionnées pour bénéficier du robinet financier sont de vieilles boîtes dont le chef de file est Thomson, dont les préoccupations — et malheureusement aussi les compétences — se situent à des années lumières du Web. Ce projet chimérique illustre à nouveau l'incompétence du Président en matière de technologie (mais ça on le savait déjà). Là où c'est plus grave, c'est quand on pense qu'au lieu de gâcher une telle fortune au bénéfice de quelques mastodontes industriels du siècle dernier, Chirac aurait pu avec le même montant aider au financement de milliers de nouvelles start-ups, ce qui aurait transformé la France en véritable Silicon Valley 2.0 !
Mais le Président ne doit pas savoir que Yahoo! et Google ont tous deux été conçus dans une chambre d'étudiant par des entrepreneurs de 20 ans! Les mêmes qui ont ensuite trouvé auprès des capitaux-risqueurs les moyens de leur fantastique développement. Avec un nouveau Président (ou bien une) l'an prochain verrons-nous poindre cette France 2.0 seule capable de dépasser les blocages et de relancer la création d'entreprises tournées vers le futur?
Pierre Chappaz, fondateur du site Kelkoo et ancien patron de Yahoo Europe, conseille désormais le principal fonds d'investissement Internet en Europe, le genevois Index Ventures. Parallèlement à une activité de «business angel» qui lui fait investir avec Marc Andreesen — le fondateur de Netscape — et Martin Varsavsky — le créateur de FON (réseau wifi mondial) — dans Netvibes, il prépare un tout nouveau moteur de recherche d'informations, Wikio, qui sera ouvert au public dans les prochaines semaines. Pierre Chappaz tiendra chaque semaine une chronique sur Libération.fr pour nous faire vivre, décrypter et commenter la nouvelle frontière de l'Internet. JHLEn savoir (un peu) plus ici et là, sur Kelblog.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.liberation.fr/page.php?Article=378389#

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mardi, avril 11, 2006

L’UNEF veut maintenir la pression


[DEBUT]
Le remplacement du contrat première embauche (CPE) par un dispositif en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes en difficulté est une "première victoire", a déclaré le président de l’Unef. "Nous appelons à maintenir la pression jusqu’au vote par le Parlement de la suppression du CPE, y compris par le blocage des universités s’il le faut", a-t-il poursuivi. "Nous déciderons à la fois avec les syndicats et dans les assemblées générales des suites et des formes à donner à la mobilisation."
[FIN]

[SOURCE]
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=8791

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

Neuf Cegetel conteste la licence nationale Wimax de Free

[DEBUT]
Neuf Cegetel conteste devant le Conseil d'Etat l'attribution au groupe Iliad-Free de l'unique licence Wimax nationale via le rachat en février 2005 de la société Altitude Telecom. L'opérateurs de télécommunications, soutenu dans sa démarche par l'opérateur historique France Télécom, remet en cause d'une part les conditions de l'obtention de la licence par Altitude Telecom, et d'autre part les modalités du transfert de cette licence à Free. Ce recours intervient juste après que Free a dévoilé son offre Wimax
[FIN]

[SOURCE]
http://www.journaldunet.com/breve/france/2060/neuf-cegetel-conteste-la-licence-nationale-wimax-de-free.shtml
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

vendredi, février 10, 2006

Wi-Fi Phone Market to Hit $1.9 billion in 2009

[DEBUT]
The global market for Wi-Fi phones rose 76 percent in 2005 to $102.5 million, and will reach $1.9 billion in 2009, according to a report by Infonetics Research. The number of units shipped rose 112 percent last year, and will increase by 158 percent this year, the report adds.

Single-mode Wi-Fi-only phones accounted for two-thirds of last year's revenue, and dual-mode Wi-Fi-cellular handsets one-third, says Infonetics' Wi-Fi Phones Biannual Worldwide Market Share and Forecast. By 2009, that ratio will better than reverse, with dual-mode handsets accounting for approximately three-fourths of the total.

The original driver of Wi-Fi phone growth will be enterprises, according to Richard Webb, the report's author. That's mainly because such organizations already have large data networks with the capability to double as voice networks. The addition of mobility to the mix only makes such VoIP applications more valuable, he notes.

In time, however, voice over Wi-Fi, also knowns as VoWLAN, will become popular among consumers, Infonetics predicts, particularly when they can buy it as part of VoIP service bundled with broadband Internet access.

Such bundles become all the more attractive when they also include cellular services as part of the package.

One key to making cellular-Wi-Fi bundles work is dual-mode handsets that are almost as cheap as single-mode ones.

Equally important are network equipment and services that allow seamless handoffs between the two modes, so that phone calls begun on a cellular network can roam to Wi-Fi when the handset is near a hotspot, or vice versa, with no interruption.

At least one startup has begun building equipment specifically aimed at making that, and various other mixes of services, possible.

Such cellular-Wi-Fi convergence will also require service providers, especially mobile operators, to figure out a business model that will make roaming an opportunity to increase their voice revenues, rather than a threat to cannibalize them.
[FIN]

[SOURCE]
Written by Robert Poe
http://www.wireless-beat.com/content/view/144/

[SAM]
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mercredi, janvier 11, 2006

WiMax : après les candidatures, place à la sélection finale

[DEBUT]
45 acteurs persistent dans leur demande d'attribution de licences. Huit d'entre eux se montrent très ambitieux.
Philippe Guerrier, VNUnet.fr 10.01.2006

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Malgré de nombreux désistements dans les demandes d'autorisation d'utiliser les fréquences de BLR-WiMax (voir édition du 6 janvier 2006), il reste encore précisémment 45 acteurs ou groupement d'acteurs qui ont renouvelé leur intérêt pour acquérir une licence.

L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de diffuser la liste des prétendants en fonction des zones de couverture visées.

Huit sociétés se distinguent du lot avec des demandes sur plus de 18 régions : Bolloré, Clearwire France, France Télécom, HDDR Multi-Régions, Maxtel, Neuf Télécom, OT Wireless Europe et SFR.

Cinq sociétés visent un couverture WiMax sur plus de cinq régions : Comiums Services Ltd, e-Qual, MGP Contracting, Servip et Shaktiware. Mais le plus gros du bataillon (18 acteurs) demande à se concentrer sur une seule et unique région.

Dossier de sélection à boucler avant le 1er février

La phase de candidatures va s'achever pour passer à la sélection. Une étape nécessaire compte tenu de la rareté des fréquences constatée pour les 22 régions métropolitaines, la Guyane et Mayotte.

A nouveau, les prétendants sont sollicités pour boucler un dossier de sélection à rendre à l'Arcep avant le 1er février 2006 à midi.

Rappelons que, pour procéder à l'attribution définitive des licences, l'Arcep prendra en compte trois principaux critères de sélection : la contribution au développement territorial des services haut débit, l'aptitude du projet à favoriser la concurrence sur le haut débit et le montant de la redevance. Deux licences pourront être délivrées par zone de couverture régionale.

Saint-Pierre et Miquelon hors compétition

Exception à la procédure d'attribution sélective : seule la collectivité territoriale de Saint-Pierre et Miquelon échappe à la procédure de filtrage. L'Arcep estime qu'il y a suffisamment de fréquences disponibles par rapport à la demande pour initier une procédure de délivrance des autorisations au fil de l'eau.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.vnunet.fr/actualite/telecommunications/
technologie_sans_fil/20060110015

[SAM]
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mardi, janvier 10, 2006

Le PC qui sent la frite

dv
[DEBUT]
Dans la série des OVNI du tuning, le site Tom's Hardware publie une préparation très spéciale d'un PC basé sur un FX-55 et une 6800 Ultra. Il est toujours question d'optimiser le refroidissement et le silence. Ici, nous avons droit à de l'huile classique comme celle que vous avez peut-être mis dans votre friteuse ce midi pour refroidir les composants. En effet, ceux-ci trempent dans un bain d'huile qui favorise les échanges thermiques mieux que l'air. Et ça marche ! Le travail sur le boitier en plexiglass afin de le rendre complètement étanche est assez impressionant. Cependant, on se voit mal aller trafiquer toutes les cinq minutes dans un tel boîtier... Et si la même folie vous venait subitement, vous trouverez même une vidéo d'explication pour le montage.

Lire l'article sur Tom's Hardware (en anglais)
[FIN]

[SOURCE]
http://www.presence-pc.com/actualite/mod-huile-tuning-13875/

[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

mercredi, janvier 04, 2006

Google Module


[SAM]
Show last news from google blog with This Module

To have more Google Module click here.
[FIN]

mardi, janvier 03, 2006

L'inscription sur les listes électorales séduit les "quartiers"


[DEBUT]
C'est jour d'affluence, mardi 27 décembre, à la mairie de Nanterre (Hauts-de-Seine). Kamel, Noria, Mohamed, Tida, Malik et Zina ne se connaissent pas, mais ils sont tous venus ce jour-là pour la même raison : faire entendre leur voix lors des prochaines élections. Alors, comme la cinquantaine de jeunes qui se présentent chaque jour depuis début décembre, ils demandent aux services de la mairie de les inscrire sur les listes électorales.

Ce n'est pas l'appel des stars françaises du foot, du cinéma ou du rap, parrainé par le footballeur Lilian Thuram ou l'acteur Jamel Debbouze, qui a motivé ces jeunes issus des "quartiers" de Nanterre à se déplacer jusqu'à la mairie. C'est simplement la crise des banlieues, la "rage" qui s'est exprimée à ce moment-là et les mots qui ont été prononcés par certains hommes politiques. Zina, 21 ans, résume leurs certitudes : pour l'élection présidentielle, "en 2007, c'est ni Le Pen ni Sarko." "Je ne vais pas laisser ma voix à quelqu'un d'autre", affirme Malik. "On est français avant tout", renchérit Tida.

Kamel, 19 ans, s'est déplacé pour rien. Comme la plupart des Français de moins de 24 ans, il a bénéficié de la loi de 1997 qui prévoit que les jeunes recensés à l'âge de 16 ans, à l'occasion de la journée d'appel de préparation à la défense, bénéficient d'une inscription d'office dans leur mairie de résidence. Kamel n'a pas déménagé, il est donc bien inscrit à Nanterre. Tant pis, au moins il est sûr de pouvoir voter en 2007 "contre Le Pen et contre Sarko, qui nous a traités de racailles".
Mohamed est plus indulgent avec le ministre de l'intérieur. Certes, lui aussi, il a été "choqué" par ses propos. "Moi, quand j'utilise le Karcher, c'est pour enlever la saleté et ça me choque qu'on veuille nous décrasser", déplore-t-il. Mais il estime que "Sarkozy a été courageux d'aller à Clichy à la rencontre des habitants" ou encore que "la violence appelle la violence". Sans le mouvement de novembre, Mohamed serait de toute façon venu s'inscrire. A 26 ans, d'origine marocaine, il vient enfin d'obtenir la nationalité française. "Et je veux faire le max pour faire partie de cette citoyenneté, affirme-t-il. En plus, j'ai parfois le sentiment, quand on me demande mes papiers, que ma carte d'identité ne suffit pas. A la mairie où je travaille, ils m'ont demandé si j'avais ma carte d'électeur."

Noria, 21 ans, prépare un BTS en alternance. Elle est venue s'inscrire "parce que j'ai des frères et que j'ai compris leur colère". Mais, en réalité, cela faisait quelques mois déjà que l'envie de voter la démangeait. Depuis la consultation sur le traité constitutionnel européen, le 29 mai 2005. "J'ai regretté le référendum", explique-t-elle. Le résultat ? "Non, le fait de ne pas avoir pu ajouter mon "non" aux autres."

A 21 ans, Rachid a été traîné par son copain Malik, du même âge. Ce dernier s'explique : "C'est important de voter, pour répondre aux insultes et pour leur dire notre rage." Rachid sort alors de son silence : "C'est des conneries. Moi si je viens, c'est pas pour voter en 2007, c'est parce que si on se fait contrôler, c'est mieux ! Ma carte d'électeur, je la donnerai au prochain flic ou CRS qui m'interpellera."

Tida, elle, croit encore à la force de son bulletin de vote. Elle pense également que le contrat d'accompagnement vers l'emploi (CAE) qu'elle a signé dans un collège, le 1er décembre, elle le doit "à la crise des banlieues et aux réponses de Villepin". "Ça fait trois ans que j'ai arrêté l'école et là, ça y est, j'ai un vrai contrat d'un an avec une formation. C'est pour ça aussi que j'irai voter." Pour le premier ministre ? "Pourquoi pas, il a proposé des choses bien, c'est le contraire de Sarkozy qui incite à encore plus de violence", ajoute-t-elle.

Tida n'est pas la seule à établir une différence entre le chef du gouvernement et son ministre de l'intérieur. "Villepin, Sarko, c'est pas pareil, explique Zina : Villepin, c'est un homme de droite qui fait un peu une politique de gauche, Sarkozy, c'est un homme de droite qui fait une politique d'extrême droite."

Rien ne permet encore à la gauche de penser qu'elle profitera de cette mobilisation des banlieues. Jean-Pierre Campos, le maire adjoint (PCF) de Nanterre chargé des affaires générales, croit pour sa part que cette mobilisation citoyenne, qui a déjà permis de pulvériser le chiffre des 2 178 inscrits enregistrés en 2004, "évitera que se renouvelle l'expérience de mai 2002 avec la droite et l'extrême droite au deuxième tour". "On avait déjà enregistré une mobilisation des jeunes et des moins jeunes en 2002 pour s'inscrire sur les listes et je pense que la mobilisation actuelle est un nouveau signe", affirme-t-il. Il sera même là le samedi 31 décembre, dans l'après-midi, pour accueillir et féliciter les derniers inscrits de l'année.

Zina est plus sceptique que l'élu communiste : "A gauche, on attend toujours de savoir ce qu'ils proposent pour nous." Noria pense la même chose : "Je ne les ai pas entendus pendant les violences dans les banlieues. J'attends de voir."
[FIN]

[SOURCE]
Christophe Jakubyszyn
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-725191@51-723037,0.html

[SAM]
Chapeau bas...

Les AdSense victimes d'un cheval de Troie


[DEBUT]
Les AdSense, liens sponsorisés contextuels de Google, sont actuellement victimes d'un virus de type "Cheval de Troie" découvert la semaine dernière par Raoul Bangera, un créateur de sites web indien. Ce virus remplace, sur l'ordinateur de l'internaute qui en est infecté, les liens sponsorisés "normaux", issus de Google, par des liens redirigeant vers des sites pornographiques, des casinos, des sites de rencontres, d'achat de viagra et autres joyeusetés... Sous Explorer, le problème est quasi indétectable (si ce n'est que les publicités affichées n'auront aucun rapport avec le contenu de la page) mais sous Firefox, quelques bugs d'affichage semblent subsister. Pour l'instant, Google a confirmé qu'il existait un problème mais aucune solution ne semble disponible. Cependant, le problème semblerait encore peu répandu. Seule solution pour le moment : utiliser un antivirus à jour !
[FIN]

[SOURCE]
http://actu.abondance.com/2006-01/google-virus.php
de
http://www.techshout.com/internet/2005/27/a-trojan-
horse-program-that-targets-google-ads-has-been-detected
-by-an-indian-web-publisher/


[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE

RFID en 2005

[DEBUT]
“RFID est une technologie à part. Potentiellement, elle peut servir à tout, et peut même devenir parfaitement pervasive et omniprésente, à un point jamais atteint par une autre technologie sans fil auparavant.”

Le “potentiellement” demeure d’actualité en 2005 – nous n’avions heureusement pas prétendu le contraire. Il convient toutefois de bien séparer les applications de cette technologie, dans l’étiquettage des produits et la distribution d’un côté, dans de multiples autres domaines de l’autre.

Au plan industriel, les puces d’identification à radio-fréquence se répandent, le marché croît (de 39%, à 504 millions de dollars, si l’on en croît Gartner), mais pas de manière explosive. Après Wal-Mart et le Département de la Défense américain en 2004, aucune très grande organisation ne s’est engagée de manière volontariste en 2005. Au fond, 2005 marque une première consolidation, disons, intellectuelle : les entreprises ont surtout appris à mieux évaluer le rapport coût-avantage de RFID. Le coût des puces et des lecteurs demeure en effet significatif quand il s’agit de tracer individuellement des produits. L’interopérabilité, tant au niveau technique qu’à celui des codes d’identification, demeure imparfaite. Enfin, dans les entreprises qui avaient déjà adopté à grande échelle des dispositifs de traçage, basculer vers RFID représente un investissement lourd en informatique, en logistique et en organisation. Cela conduit Gartner à prédire que “les étiquettes RFID ne remplaceront pas les codes-barre” et qu’à court terme en tout cas, RFID sera principalement exploité dans de nouvelles applications, qu’en substitution à des dispositifs existants. Les secteurs de la santé, la pharmacie et la logistique seraient les premiers concernés, notamment pour la gestion d’équipements et le suivi de véhicules ainsi que de palettes.

Pour autant, RFID continue d’étendre son emprise. Au Japon, la carte sans contact Felica fait désormais office de billet de train et de spectacle, de porte-monnaie, etc. Les robots domestiques japonais apprennent à lire celles qui équipent les maisons pour se repérer sans recourir à des logiciels encore très imparfaits de reconnaissance de forme. Même aux Etats-Unis, là où est pourtant né le débat le plus critique à l’encontre de RFID en matière de respect de la vie privée, on voit des entreprises se spécialiser dans la commercialisation de serrures électroniques, permettant d’ouvrir la porte de son domicile avec un téléphone mobile équipé d’une puce ad hoc. Et, à compter d’octobre 2006, tous les passeports des citoyens états-uniens seront équipés d’une puce RFID.

Même si les réticences vis-à-vis de RFID demeurent vives, elles s’expriment d’une manière moins spectaculaire qu’en 2004. Dans plusieurs communications à la Cnil, Philippe Lemoine a tenté de résumer les “quatre pièges qui concourent à minorer le risque que présente cette technologie en matière de protection des données personnelles et de la vie privée : l’insignifiance [apparente] des données, la priorité donnée aux objets [en apparence toujours vis-à-vis des personnes], la logique de mondialisation [normalisation technologique basée sur un concept américain de « privacy » sans prise en compte des principes européens de protection de la vie privée] et enfin le risque de « non vigilance » individuelle [présence et activation invisibles].”

C’est sans doute une bonne manière d’aborder la recherche d’un équilibre, mais force est de constater que RFID se répand, se généralise et fait partie du quotidien de nombreux citoyens, qui ne semblent pas en être dérangés outre mesure, ni se passionner pour le sujet.
[FIN]

[SOURCE]
par Cyril Fiévet
http://www.internetactu.net/?p=6274

[SAM]
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lundi, janvier 02, 2006

Windows: la faille 'WMF' est copieusement exploitée

[DEBUT]
On devait s'y attendre: 'hackers' et autres amateurs de piraterie ont profité de la situation.

Les uns après les autres, la plupart des éditeurs de logiciels de sécurité avertissent la communauté Internet de l'exploitation massive de la dernière faille non corrigée impactant toutes les versions de Windows.

Rappelons que cette vulnérabilité est causée par un problème dans la gestion des fichiers Windows Metafile (WMF). Les métafichiers de Windows (Windows Metafiles) sont des fichiers d'image employés par des applications populaires telles que Microsoft Word.

En amenant l'utilisateur à visualiser une page WMF piégée via Windows Picture and Fax Viewer ou via Internet Explorer, il est possible d'injecter du code malicieux et de transformer la machine touchée en PC zombie. Son code a été rendu public ce qui a facilité le travail des pirates.

Selon les spécialistes, il existerait déjà plus de 50 variantes de l'exploit. La faille est utilisée pour installer des spywares, chevaux de Troie, des vers et dex virus). Pire, le danger existe aussi avec des fichiers .wmf dont l'extension a été modifiée en .jpg par exemple.

Selon F-Secure, des utilisateurs peuvent être infectés simplement en visitant un site Web avec un fichier d'image contenant l'exploit de WMF. Les utilisateurs d'Internet Explorer ont un plus grand risque d'infection automatique tandis que les utilisateurs de Firefox et d'Opéra sont interrogés pour savoir s'ils veulent ouvrir l'image WMF, ou non. Ils sont alors également infectés s'ils répondent « oui ».

Pour Mikko Hypponen, responsable de recherche de l'éditeur "jusqu'ici, nous avons seulement vu cette menace étant utilisée pour installer des spywares ou des antispyware et antivirus truqués sur les machines affectées. J'ai peur que nous voyons apparaître de vrais virus exploitant cette faille bientôt. Jusqu'à présent nous avons identifié 70 versions différentes des fichiers malveillants WMF."

Et d'ajouter que la faille de WMF a été employée avec une motivation criminelle claire pour installer le spyware et pour duper les consommateurs ordinaires dans le but de leur faire acheter de faux produits de sécurité pour leurs ordinateurs.

Chez Microsoft, on assure travailler sur un patch...
[FIN]

[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13098

[LIENS]
Faille critique dans Windows
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13081

[SAM]
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