mercredi, janvier 11, 2006

WiMax : après les candidatures, place à la sélection finale

[DEBUT]
45 acteurs persistent dans leur demande d'attribution de licences. Huit d'entre eux se montrent très ambitieux.
Philippe Guerrier, VNUnet.fr 10.01.2006

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Malgré de nombreux désistements dans les demandes d'autorisation d'utiliser les fréquences de BLR-WiMax (voir édition du 6 janvier 2006), il reste encore précisémment 45 acteurs ou groupement d'acteurs qui ont renouvelé leur intérêt pour acquérir une licence.

L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de diffuser la liste des prétendants en fonction des zones de couverture visées.

Huit sociétés se distinguent du lot avec des demandes sur plus de 18 régions : Bolloré, Clearwire France, France Télécom, HDDR Multi-Régions, Maxtel, Neuf Télécom, OT Wireless Europe et SFR.

Cinq sociétés visent un couverture WiMax sur plus de cinq régions : Comiums Services Ltd, e-Qual, MGP Contracting, Servip et Shaktiware. Mais le plus gros du bataillon (18 acteurs) demande à se concentrer sur une seule et unique région.

Dossier de sélection à boucler avant le 1er février

La phase de candidatures va s'achever pour passer à la sélection. Une étape nécessaire compte tenu de la rareté des fréquences constatée pour les 22 régions métropolitaines, la Guyane et Mayotte.

A nouveau, les prétendants sont sollicités pour boucler un dossier de sélection à rendre à l'Arcep avant le 1er février 2006 à midi.

Rappelons que, pour procéder à l'attribution définitive des licences, l'Arcep prendra en compte trois principaux critères de sélection : la contribution au développement territorial des services haut débit, l'aptitude du projet à favoriser la concurrence sur le haut débit et le montant de la redevance. Deux licences pourront être délivrées par zone de couverture régionale.

Saint-Pierre et Miquelon hors compétition

Exception à la procédure d'attribution sélective : seule la collectivité territoriale de Saint-Pierre et Miquelon échappe à la procédure de filtrage. L'Arcep estime qu'il y a suffisamment de fréquences disponibles par rapport à la demande pour initier une procédure de délivrance des autorisations au fil de l'eau.
[FIN]

[SOURCE]
http://www.vnunet.fr/actualite/telecommunications/
technologie_sans_fil/20060110015

[SAM]
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mardi, janvier 10, 2006

Le PC qui sent la frite

dv
[DEBUT]
Dans la série des OVNI du tuning, le site Tom's Hardware publie une préparation très spéciale d'un PC basé sur un FX-55 et une 6800 Ultra. Il est toujours question d'optimiser le refroidissement et le silence. Ici, nous avons droit à de l'huile classique comme celle que vous avez peut-être mis dans votre friteuse ce midi pour refroidir les composants. En effet, ceux-ci trempent dans un bain d'huile qui favorise les échanges thermiques mieux que l'air. Et ça marche ! Le travail sur le boitier en plexiglass afin de le rendre complètement étanche est assez impressionant. Cependant, on se voit mal aller trafiquer toutes les cinq minutes dans un tel boîtier... Et si la même folie vous venait subitement, vous trouverez même une vidéo d'explication pour le montage.

Lire l'article sur Tom's Hardware (en anglais)
[FIN]

[SOURCE]
http://www.presence-pc.com/actualite/mod-huile-tuning-13875/

[SAM]
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mercredi, janvier 04, 2006

Google Module


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[FIN]

mardi, janvier 03, 2006

L'inscription sur les listes électorales séduit les "quartiers"


[DEBUT]
C'est jour d'affluence, mardi 27 décembre, à la mairie de Nanterre (Hauts-de-Seine). Kamel, Noria, Mohamed, Tida, Malik et Zina ne se connaissent pas, mais ils sont tous venus ce jour-là pour la même raison : faire entendre leur voix lors des prochaines élections. Alors, comme la cinquantaine de jeunes qui se présentent chaque jour depuis début décembre, ils demandent aux services de la mairie de les inscrire sur les listes électorales.

Ce n'est pas l'appel des stars françaises du foot, du cinéma ou du rap, parrainé par le footballeur Lilian Thuram ou l'acteur Jamel Debbouze, qui a motivé ces jeunes issus des "quartiers" de Nanterre à se déplacer jusqu'à la mairie. C'est simplement la crise des banlieues, la "rage" qui s'est exprimée à ce moment-là et les mots qui ont été prononcés par certains hommes politiques. Zina, 21 ans, résume leurs certitudes : pour l'élection présidentielle, "en 2007, c'est ni Le Pen ni Sarko." "Je ne vais pas laisser ma voix à quelqu'un d'autre", affirme Malik. "On est français avant tout", renchérit Tida.

Kamel, 19 ans, s'est déplacé pour rien. Comme la plupart des Français de moins de 24 ans, il a bénéficié de la loi de 1997 qui prévoit que les jeunes recensés à l'âge de 16 ans, à l'occasion de la journée d'appel de préparation à la défense, bénéficient d'une inscription d'office dans leur mairie de résidence. Kamel n'a pas déménagé, il est donc bien inscrit à Nanterre. Tant pis, au moins il est sûr de pouvoir voter en 2007 "contre Le Pen et contre Sarko, qui nous a traités de racailles".
Mohamed est plus indulgent avec le ministre de l'intérieur. Certes, lui aussi, il a été "choqué" par ses propos. "Moi, quand j'utilise le Karcher, c'est pour enlever la saleté et ça me choque qu'on veuille nous décrasser", déplore-t-il. Mais il estime que "Sarkozy a été courageux d'aller à Clichy à la rencontre des habitants" ou encore que "la violence appelle la violence". Sans le mouvement de novembre, Mohamed serait de toute façon venu s'inscrire. A 26 ans, d'origine marocaine, il vient enfin d'obtenir la nationalité française. "Et je veux faire le max pour faire partie de cette citoyenneté, affirme-t-il. En plus, j'ai parfois le sentiment, quand on me demande mes papiers, que ma carte d'identité ne suffit pas. A la mairie où je travaille, ils m'ont demandé si j'avais ma carte d'électeur."

Noria, 21 ans, prépare un BTS en alternance. Elle est venue s'inscrire "parce que j'ai des frères et que j'ai compris leur colère". Mais, en réalité, cela faisait quelques mois déjà que l'envie de voter la démangeait. Depuis la consultation sur le traité constitutionnel européen, le 29 mai 2005. "J'ai regretté le référendum", explique-t-elle. Le résultat ? "Non, le fait de ne pas avoir pu ajouter mon "non" aux autres."

A 21 ans, Rachid a été traîné par son copain Malik, du même âge. Ce dernier s'explique : "C'est important de voter, pour répondre aux insultes et pour leur dire notre rage." Rachid sort alors de son silence : "C'est des conneries. Moi si je viens, c'est pas pour voter en 2007, c'est parce que si on se fait contrôler, c'est mieux ! Ma carte d'électeur, je la donnerai au prochain flic ou CRS qui m'interpellera."

Tida, elle, croit encore à la force de son bulletin de vote. Elle pense également que le contrat d'accompagnement vers l'emploi (CAE) qu'elle a signé dans un collège, le 1er décembre, elle le doit "à la crise des banlieues et aux réponses de Villepin". "Ça fait trois ans que j'ai arrêté l'école et là, ça y est, j'ai un vrai contrat d'un an avec une formation. C'est pour ça aussi que j'irai voter." Pour le premier ministre ? "Pourquoi pas, il a proposé des choses bien, c'est le contraire de Sarkozy qui incite à encore plus de violence", ajoute-t-elle.

Tida n'est pas la seule à établir une différence entre le chef du gouvernement et son ministre de l'intérieur. "Villepin, Sarko, c'est pas pareil, explique Zina : Villepin, c'est un homme de droite qui fait un peu une politique de gauche, Sarkozy, c'est un homme de droite qui fait une politique d'extrême droite."

Rien ne permet encore à la gauche de penser qu'elle profitera de cette mobilisation des banlieues. Jean-Pierre Campos, le maire adjoint (PCF) de Nanterre chargé des affaires générales, croit pour sa part que cette mobilisation citoyenne, qui a déjà permis de pulvériser le chiffre des 2 178 inscrits enregistrés en 2004, "évitera que se renouvelle l'expérience de mai 2002 avec la droite et l'extrême droite au deuxième tour". "On avait déjà enregistré une mobilisation des jeunes et des moins jeunes en 2002 pour s'inscrire sur les listes et je pense que la mobilisation actuelle est un nouveau signe", affirme-t-il. Il sera même là le samedi 31 décembre, dans l'après-midi, pour accueillir et féliciter les derniers inscrits de l'année.

Zina est plus sceptique que l'élu communiste : "A gauche, on attend toujours de savoir ce qu'ils proposent pour nous." Noria pense la même chose : "Je ne les ai pas entendus pendant les violences dans les banlieues. J'attends de voir."
[FIN]

[SOURCE]
Christophe Jakubyszyn
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-725191@51-723037,0.html

[SAM]
Chapeau bas...

Les AdSense victimes d'un cheval de Troie


[DEBUT]
Les AdSense, liens sponsorisés contextuels de Google, sont actuellement victimes d'un virus de type "Cheval de Troie" découvert la semaine dernière par Raoul Bangera, un créateur de sites web indien. Ce virus remplace, sur l'ordinateur de l'internaute qui en est infecté, les liens sponsorisés "normaux", issus de Google, par des liens redirigeant vers des sites pornographiques, des casinos, des sites de rencontres, d'achat de viagra et autres joyeusetés... Sous Explorer, le problème est quasi indétectable (si ce n'est que les publicités affichées n'auront aucun rapport avec le contenu de la page) mais sous Firefox, quelques bugs d'affichage semblent subsister. Pour l'instant, Google a confirmé qu'il existait un problème mais aucune solution ne semble disponible. Cependant, le problème semblerait encore peu répandu. Seule solution pour le moment : utiliser un antivirus à jour !
[FIN]

[SOURCE]
http://actu.abondance.com/2006-01/google-virus.php
de
http://www.techshout.com/internet/2005/27/a-trojan-
horse-program-that-targets-google-ads-has-been-detected
-by-an-indian-web-publisher/


[SAM]
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RFID en 2005

[DEBUT]
“RFID est une technologie à part. Potentiellement, elle peut servir à tout, et peut même devenir parfaitement pervasive et omniprésente, à un point jamais atteint par une autre technologie sans fil auparavant.”

Le “potentiellement” demeure d’actualité en 2005 – nous n’avions heureusement pas prétendu le contraire. Il convient toutefois de bien séparer les applications de cette technologie, dans l’étiquettage des produits et la distribution d’un côté, dans de multiples autres domaines de l’autre.

Au plan industriel, les puces d’identification à radio-fréquence se répandent, le marché croît (de 39%, à 504 millions de dollars, si l’on en croît Gartner), mais pas de manière explosive. Après Wal-Mart et le Département de la Défense américain en 2004, aucune très grande organisation ne s’est engagée de manière volontariste en 2005. Au fond, 2005 marque une première consolidation, disons, intellectuelle : les entreprises ont surtout appris à mieux évaluer le rapport coût-avantage de RFID. Le coût des puces et des lecteurs demeure en effet significatif quand il s’agit de tracer individuellement des produits. L’interopérabilité, tant au niveau technique qu’à celui des codes d’identification, demeure imparfaite. Enfin, dans les entreprises qui avaient déjà adopté à grande échelle des dispositifs de traçage, basculer vers RFID représente un investissement lourd en informatique, en logistique et en organisation. Cela conduit Gartner à prédire que “les étiquettes RFID ne remplaceront pas les codes-barre” et qu’à court terme en tout cas, RFID sera principalement exploité dans de nouvelles applications, qu’en substitution à des dispositifs existants. Les secteurs de la santé, la pharmacie et la logistique seraient les premiers concernés, notamment pour la gestion d’équipements et le suivi de véhicules ainsi que de palettes.

Pour autant, RFID continue d’étendre son emprise. Au Japon, la carte sans contact Felica fait désormais office de billet de train et de spectacle, de porte-monnaie, etc. Les robots domestiques japonais apprennent à lire celles qui équipent les maisons pour se repérer sans recourir à des logiciels encore très imparfaits de reconnaissance de forme. Même aux Etats-Unis, là où est pourtant né le débat le plus critique à l’encontre de RFID en matière de respect de la vie privée, on voit des entreprises se spécialiser dans la commercialisation de serrures électroniques, permettant d’ouvrir la porte de son domicile avec un téléphone mobile équipé d’une puce ad hoc. Et, à compter d’octobre 2006, tous les passeports des citoyens états-uniens seront équipés d’une puce RFID.

Même si les réticences vis-à-vis de RFID demeurent vives, elles s’expriment d’une manière moins spectaculaire qu’en 2004. Dans plusieurs communications à la Cnil, Philippe Lemoine a tenté de résumer les “quatre pièges qui concourent à minorer le risque que présente cette technologie en matière de protection des données personnelles et de la vie privée : l’insignifiance [apparente] des données, la priorité donnée aux objets [en apparence toujours vis-à-vis des personnes], la logique de mondialisation [normalisation technologique basée sur un concept américain de « privacy » sans prise en compte des principes européens de protection de la vie privée] et enfin le risque de « non vigilance » individuelle [présence et activation invisibles].”

C’est sans doute une bonne manière d’aborder la recherche d’un équilibre, mais force est de constater que RFID se répand, se généralise et fait partie du quotidien de nombreux citoyens, qui ne semblent pas en être dérangés outre mesure, ni se passionner pour le sujet.
[FIN]

[SOURCE]
par Cyril Fiévet
http://www.internetactu.net/?p=6274

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lundi, janvier 02, 2006

Windows: la faille 'WMF' est copieusement exploitée

[DEBUT]
On devait s'y attendre: 'hackers' et autres amateurs de piraterie ont profité de la situation.

Les uns après les autres, la plupart des éditeurs de logiciels de sécurité avertissent la communauté Internet de l'exploitation massive de la dernière faille non corrigée impactant toutes les versions de Windows.

Rappelons que cette vulnérabilité est causée par un problème dans la gestion des fichiers Windows Metafile (WMF). Les métafichiers de Windows (Windows Metafiles) sont des fichiers d'image employés par des applications populaires telles que Microsoft Word.

En amenant l'utilisateur à visualiser une page WMF piégée via Windows Picture and Fax Viewer ou via Internet Explorer, il est possible d'injecter du code malicieux et de transformer la machine touchée en PC zombie. Son code a été rendu public ce qui a facilité le travail des pirates.

Selon les spécialistes, il existerait déjà plus de 50 variantes de l'exploit. La faille est utilisée pour installer des spywares, chevaux de Troie, des vers et dex virus). Pire, le danger existe aussi avec des fichiers .wmf dont l'extension a été modifiée en .jpg par exemple.

Selon F-Secure, des utilisateurs peuvent être infectés simplement en visitant un site Web avec un fichier d'image contenant l'exploit de WMF. Les utilisateurs d'Internet Explorer ont un plus grand risque d'infection automatique tandis que les utilisateurs de Firefox et d'Opéra sont interrogés pour savoir s'ils veulent ouvrir l'image WMF, ou non. Ils sont alors également infectés s'ils répondent « oui ».

Pour Mikko Hypponen, responsable de recherche de l'éditeur "jusqu'ici, nous avons seulement vu cette menace étant utilisée pour installer des spywares ou des antispyware et antivirus truqués sur les machines affectées. J'ai peur que nous voyons apparaître de vrais virus exploitant cette faille bientôt. Jusqu'à présent nous avons identifié 70 versions différentes des fichiers malveillants WMF."

Et d'ajouter que la faille de WMF a été employée avec une motivation criminelle claire pour installer le spyware et pour duper les consommateurs ordinaires dans le but de leur faire acheter de faux produits de sécurité pour leurs ordinateurs.

Chez Microsoft, on assure travailler sur un patch...
[FIN]

[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13098

[LIENS]
Faille critique dans Windows
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13081

[SAM]
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