[DEBUT]
Une étude publiée par l'institut Médiametrie met en exergue l'attachement des plus jeunes aux 'blogs', ces sites web personnalisés faciles à mettre en place et qui ont suscité un débat sur la liberté d'expression.
Que les jeunes renouent avec l'écriture est sans doute l'aspect le plus positif des 'Web logs' ou blogs. Après les calomnies de professeurs ou la publication de photos osées de ses camarades de classe, c'est une autre histoire qui surgit.
L'étude de Médiamétrie révèle la forte implication des jeunes dans ce nouveau moyen de communication.
Plus de 8 blogueurs sur 10 (82%) ont moins de 24 ans, a annoncé ce 15 décembre l'Institut d'études. Pour ce premier bilan du phénomène, Médiamétrie précise que 35% des 'blogueurs' ont de 11 à 15 ans et 47% de 16 à 24 ans.
Plus d'un blogueur sur deux (52%) est un étudiant et plus d'un blogueur sur deux (54%) est une femme.
Au deuxième trimestre 2005, 73% des internautes français déclarent savoir ce que sont les blogs. Neuf internautes sur 10 (89,1%) de 15 à 24 ans connaissent les blogs. Seulement 53% des seniors connaissent leur existence.
En octobre 2005, 3.428.000 internautes ont consulté au moins un blog édité par Skyblog, 2.212.000 internautes ont fait de même avec au moins un blog édité par la société Six Apart et 1.815.000 internautes avec la plate-forme Over-blog.
Les blogs sont consultés chaque mois par 6,7 millions d'internautes, soit 28% des internautes français. Au troisième trimestre 2005, 2,2 millions d'internautes déclarent avoir déjà créé un blog, soit près d'un internaute sur 10 (9,3 %).
Pour les principales plates-formes de blogs, Skyblog, qui "a connu une ascension fulgurante en termes d'audience", est numéro un avec +130 % d'internautes sur un an.
A propos de l'étude:
Ces résultats sur les blogs s'appuient, explique Médiamétrie, "sur la gamme de produits et services développés et commercialisés par le département Internet et nouveaux médias de Médiamétrie: les Observatoires multimédia, le Panel d'audience et Médiamétrie/NetRatings".
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12913
[SAM]
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jeudi, décembre 22, 2005
Tim Berners-Lee, créateur du Web, commente son 'blog'

[DEBUT]
Celui qui est considéré comme le créateur du Word Wide Web vient de créer son 'blog', juste à temps pour célébrer le 15e anniversaire de sa création.
Tim Berners-Lee affiche un (petit) temps de retard, mais personne ne lui en voudra. Le créateur des concepts fondamentaux de la Toile sur Internet, directeur du WWW Consortium, reconnaît implicitement qu'il prend ainsi au sérieux le phénomène des 'weblogs' (ou 'blogs'). Il crée le sien.
"WWW était plein de bon nombre de substances intéressantes, mais pas un espace pour la conception communautaire, pour discourir avec des auteurs communautaires", écrit-il sur son 'blog'.Depuis l'arrivée du phénomène populaire des 'weblogs', assimilables à des sites ou journaux personnels en ligne, le paysage change. Ces 'blogs' permettent à tout un chacun de venir déposer ses commentaires - tout comme celui des "wikis", ces sites au caractère encyclopédique où le visiteur peut apporter sa contribution.Tim Berners-Lee affirme: "Je n'étais pas fou de penser que les gens aurait besoin d'un espace créatif".Il vient donc de démarrer son 'blog', l'occasion de se frotter un peu plus aux nouveaux outils de blogging qui prolifèrent.
http://dig.csail.mit.edu/breadcrumbs/node/38
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=13001
[SAM]
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Le Projet de loi relatif au droit d’auteur et aux droits voisins discuté à l’Assemblée nationale

[SOURCE]
Le projet de loi sur le droit d’auteur et le droit voisin, discuté à l’Assemblée nationale les 20 et 21 décembre 2005, est la transposition en droit français de la directive européenne sur le droit d’auteur et les droits voisins dans la société de l’information. Ce projet de loi concilie le respect de deux valeurs d’importance égale : la légitimité de la rémunération des créateurs et l’accès du plus grand nombre à la culture et à la connaissance.
Le ministre de la Culture et de la Communication, interrogé le 19 décembre 2005 dans le quotidien Le Monde, parle de ce projet de loi comme d’une "troisième voie, celle de l’information et de la responsabilité (...) Il protège la liberté de création et la diversité tout en prenant en compte l’étape majeure de l’offre légale en ligne pour la musique et le cinéma".
Le projet s’articule autour de quatre points :
1. Les conditions de l’émergence d’une offre légale diversifiée
Le projet de loi propose un cadre juridique qui garantit la copie privée tout en protégeant les oeuvres. En créant les conditions de la confiance, pour les ayants droits qui utilisent des mesures techniques de protection, le texte permet l’essor de nouveaux modèles économiques au bénéfice du consommateur.
Renaud Donnedieu de Vabres a rappelé que "la loi ne remet d’aucune manière en cause la copie privée ou sa notion d’utilisation dans un cercle familial".
2. Une meilleure prévention et des sanctions adaptées
La "réponse graduée" (qui fera l’objet d’un amendement au projet de loi) permet d’envoyer des messages de prévention et d’éviter aux internautes d’être poursuivis au tribunal correctionnel. Un collège des médiateurs sera créé pour réguler les mesures techniques et maintenir un équilibre entre les mesures techniques de protection et l’exception de copie privée.
"Cette "réponse graduée" devrait être reprise au niveau européen, voire au-delà", a précisé le ministre de la Culture et de la Communication.
L’amendement dit "super distribution", permet de responsabiliser les éditeurs de logiciels en les incitant à respecter les droits de propriété littéraire et artistique. La responsabilisation des opérateurs de logiciels favorisera l’émergence d’offre de systèmes d’échanges "pair-à-pair" légaux.
3. Faciliter l’accès aux oeuvres pour les personnes handicapées
Le projet de loi crée une exception pour faciliter l’accès à la culture des personnes affectées d’un handicap.
4. Le dépôt légal numérique
Il permet la numérisation du dépôt légal et sa consultation en ligne par des chercheurs sur des postes dédiés. Il met en place le dépôt légal du web qui représente une part croissante de l’information échangée et donc, à terme, de notre mémoire collective.
Enfin le ministre de la Culture et de la Communication a tenu à s’exprimer le 21 décembre 2005, dans un entretien donné à Europe 1, sur "l’accord qui a été signé, [le 20 décembre 2005], entre les fournisseurs d’accès à Internet, le monde du cinéma et le monde de la télévision, [qui] est une fantastique nouvelle pour l’emploi, pour toute la filière du cinéma, parce que ce sont des investissements d’Internet vers le soutien au cinéma".
[FIN]
[SOURCE]
http://www.internet.gouv.fr/article.php3?id_article=195
[SAM]
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Croissance record du Web en 2005

[DEBUT]
Selon le cabinet de recherche Netcraft, le Web a connu une croissance de 2,68 millions d’adresses (noms de domaines) de septembre à octobre 2005, et de 17,5 millions d’adresses depuis le début de l’année, pour atteindre 74 409 971 domaines actifs. Netcraft souligne que la plus importante croissance enregistrée depuis les dix ans qu’il mène son enquête sur le nombre de domaines actifs remonte à l’an 2000, soit aux meilleurs moments de la bulle des pointcom, alors qu’il avait recensé 16 millions de nouveaux domaines.
Malgré certaines failles passées dans la méthodologie de Netcraft pour arriver à des chiffres précis signalés entre autres par la BBC, l’analyste Rich Miller estime que les données sont fiables et reflètent fidèlement l’état de la situation. Selon Miller, la hausse serait principalement attribuable à trois facteurs. D’une part, il constate l’arrivée en ligne de beaucoup de petites entreprises et d’organisations de taille modeste qui estiment maintenant essentiel d’être présents sur le Web. D’autre part, les spammeurs multiplient les sites Web pour tenter d’obtenir de meilleurs résultats dans les moteurs de recherche.
Le troisième facteur contribuant à la hausse du nombre de noms de domaines serait la mouvance blogue. Les blogues hébergés des services gratuits comme Blogspot de Blogger, par exemple, ne sont pas comptés comme des noms de domaines actifs, seul le domaine générique blogspot.com l’est. En revanche beaucoup de blogueurs, même s’ils utilisent des plate-formes d’édition (Blogger, Typepard, MovableType, etc.), hébergent leurs blogues sur leurs propres nom de domaine (martinepage.com, pierretessier.com, anniestrohem.com, warrenkinsella.com, andrewsullivan.com, etc.).
Pour ce qui est du nombre total de blogues, sujet souvent controversé, The Blog Herald estime qu’en octobre 2005, il y aurait plus de 100 millions de blogues. Le Herald reconnaît qu’il s’agit d’un chiffre approximatif étant donné la difficulté d’assembler des données de ce genre. Le compte par pays donnerait 75 millions, mais la donnée est faussée par l’utilisation de services d’hébergement étasuniens par des étrangers. Le compte par fournisseur de services serait de 134 à 144 millions, mais là encore le recoupement est difficile à établir. C’est pourquoi le Herald parle d’environ 100 millions de blogues; une bonne partie de ce nombre serait composée de spamblogs (même technique que pour les noms de domaines) ou de blogues inactifs.
[FIN]
[SOURCE]
http://cyberie.qc.ca/jpc/2005/10/croissance-record-du-web-en-2005.html
[SAM]
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Selon le cabinet de recherche Netcraft, le Web a connu une croissance de 2,68 millions d’adresses (noms de domaines) de septembre à octobre 2005, et de 17,5 millions d’adresses depuis le début de l’année, pour atteindre 74 409 971 domaines actifs. Netcraft souligne que la plus importante croissance enregistrée depuis les dix ans qu’il mène son enquête sur le nombre de domaines actifs remonte à l’an 2000, soit aux meilleurs moments de la bulle des pointcom, alors qu’il avait recensé 16 millions de nouveaux domaines.
Malgré certaines failles passées dans la méthodologie de Netcraft pour arriver à des chiffres précis signalés entre autres par la BBC, l’analyste Rich Miller estime que les données sont fiables et reflètent fidèlement l’état de la situation. Selon Miller, la hausse serait principalement attribuable à trois facteurs. D’une part, il constate l’arrivée en ligne de beaucoup de petites entreprises et d’organisations de taille modeste qui estiment maintenant essentiel d’être présents sur le Web. D’autre part, les spammeurs multiplient les sites Web pour tenter d’obtenir de meilleurs résultats dans les moteurs de recherche.
Le troisième facteur contribuant à la hausse du nombre de noms de domaines serait la mouvance blogue. Les blogues hébergés des services gratuits comme Blogspot de Blogger, par exemple, ne sont pas comptés comme des noms de domaines actifs, seul le domaine générique blogspot.com l’est. En revanche beaucoup de blogueurs, même s’ils utilisent des plate-formes d’édition (Blogger, Typepard, MovableType, etc.), hébergent leurs blogues sur leurs propres nom de domaine (martinepage.com, pierretessier.com, anniestrohem.com, warrenkinsella.com, andrewsullivan.com, etc.).
Pour ce qui est du nombre total de blogues, sujet souvent controversé, The Blog Herald estime qu’en octobre 2005, il y aurait plus de 100 millions de blogues. Le Herald reconnaît qu’il s’agit d’un chiffre approximatif étant donné la difficulté d’assembler des données de ce genre. Le compte par pays donnerait 75 millions, mais la donnée est faussée par l’utilisation de services d’hébergement étasuniens par des étrangers. Le compte par fournisseur de services serait de 134 à 144 millions, mais là encore le recoupement est difficile à établir. C’est pourquoi le Herald parle d’environ 100 millions de blogues; une bonne partie de ce nombre serait composée de spamblogs (même technique que pour les noms de domaines) ou de blogues inactifs.
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http://cyberie.qc.ca/jpc/2005/10/croissance-record-du-web-en-2005.html
[SAM]
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ProspecTic 2010 : Proximité / Distance

[DEBUT]
Les réseaux entretiennent avec la distance une relation ambiguë. Ils servent d’abord à la parcourir, plus vite, de manière plus fiable, plus sûre et dès lors que le temps de parcours n’est pas nul, plus agréable. On leur demande souvent de la réduire, voire de l’annihiler : les réseaux feraient des Malgaches nos voisins, ils permettraient aux ruraux de partager la modernité (et les cycles de production) des urbains sans en adopter le mode de vie. A l’inverse, on les soupçonne d’imposer de nouvelles distances, d’éloigner les individus les uns les autres, de briser d’anciennes convivialités.
Point d’aboutissement de l’ère des réseaux, les communications mobiles produiraient même, selon Michel Serres, un “espace sans distance”, dans lequel les réseaux eux-mêmes se fondent et disparaissent. Et en effet, physiquement, la distance comme le lieu ont cessé de contraindre les échanges de signes.
Mais comment comprendre, alors, que distance et proximité demeurent des piliers aussi fondateurs de nos pratiques comme de nos représentations ?
Premier exemple : l’urbanisation se poursuit à grande vitesse dans le monde, même si les périphéries croissent plus que les centres-villes. L’”espace des flux” que décrit Manuel Castells s’organise autour de grands pôles urbains mondialement reliés en réseau : un espace nullement homogène, qui ressemble plutôt à notre univers, plein de vide mais troué par endroits de formidables concrétions de matière et d’énergie. Les réseaux de télécommunication, comme avant les réseaux de transport, polarisent l’espace.
Second exemple : contrairement à ce qu’espéraient certains grands réseaux de transport ou de distribution, la fermeture de leurs agences, gares, bureaux, guichets… ne se compense pas simplement par un site web et les contraint à repenser les formes humaines, voire physiques, de leur présence auprès de leurs clients et usagers distants.
Troisième exemple : le télétravail et le téléenseignement n’apparaissent plus tant comme des modèles alternatifs, que comme des ingrédients au sein de dispositifs personnalisés et mobiles dans lesquels, souvent, le regroupement régulier des corps construit le groupe. La mobilité connectée transforme plus profondément notre relation à la distance que les modèles “télé” (travail, santé, services, enseignement…) des années passées, fondées sur l’idée d’un point fixe de référence, qu’il s’agisse du domicile ou du télécentre. Cette mobilité habite, habille, irrigue, irrite la distance, mais elle ne l’abolit pas, elle ne fusionne pas lieu et lien.
Enfin, les études montrent que deux correspondants qui se rencontrent fréquemment télécommuniquent aussi plus souvent que la moyenne. Ce qui, par parenthèse, montre aussi que les réseaux numériques ne contribuent pas particulièrement à isoler les urbains les uns des autres.
Pourtant, on peut aujourd’hui créer et entretenir une vraie relation à distance. Des joueurs d’échecs aux participants des forums et communautés en ligne, les exemples sont nombreux de relations suivies, parfois profondes, nouées en ligne. Dans certains cas, la rencontre en forme l’horizon - et les sites de mise en relation rencontrent un succès dont on ne parle pas assez. Dans d’autres cas, la relation peut vivre et se développer sans aucun contact physique. On sait aussi que certaines équipes, voire certaines entreprises, peuvent fonctionner de manière chaleureuse et efficace à distance ; mais les exemples d’échecs sont tout aussi nombreux et dans la quasi-totalité des cas, les équipes qui marchent prévoient des moments réguliers de convergence physique.
Sommes-nous donc face à une transition ou à une émergence ? La relation à distance attend-elle juste une génération numérique et/ou l’arrivée d’outils qui la rendent aussi naturelle et sensoriellement riche que la relation physique, pour devenir totalement interchangeable avec la rencontre ? Ou bien, y a-t-il une nature propre de la relation distante, celle-ci occupe-t-elle une place à part dans l’éventail des formes relationnelles ? Voici une belle piste pour la recherche et l’innovation : et si, tout en cherchant les moyens de reproduire, dans la distance, les conditions de la co-présence physique, nous partions également en quête de la nature propre de la relation à distance, de l’âme que les réseaux fluides et omniprésents lui ont, sans y penser, peut-être insufflée ?
[FIN]
[SOURCE]
[LIENS]
[SAM]
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États-Unis : Blogues et politique

[DEBUT]
Si certains doutaient encore de l’influence que peuvent avoir les blogues et leurs auteurs sur la politique étasunienne, l’affaire Mehlman/Miers est un exemple de l’attention que les politiciens prêtent aux commentaires qui circulent dans la blogosphère.
La semaine dernière, George W. Bush annonçait la désignation de Harriet Miers au poste de juge à la Cour suprême. Miers, une juriste texane, était avant cette annonce conseillère juridique du président. Le Parti démocrate a alors affirmé qu’il s’opposerait à la nomination de Miers (qui doit être avalisée par le Sénat), estimant ses positions politiques trop à droite. Avec le décès du juge en chef Rehnquist et la démission de la juge O’Connor, il y avait donc deux postes à pourvoir. La stratégie des démocrates a alors consisté à ne pas trop s’opposer à la nomination de John Roberts (reconnu de droite) au poste de juge en chef, espérant la désignation d’une personne d’allégeance libérale pour le second poste à pourvoir. Bien compté, mal calculé.
Mais sitôt la désignation de Miers, la blogosphère de droite politique a vivement critiqué son manque d’expérience car elle n’a jamais de toute sa carrière occupé un poste de juge. Les blogueurs ont estimé que même si c’est une proche conseillère du président, ils ne disposaient donc pas d’un dossier sur les décisions rendues, ses positions sur des enjeux de société comme l’avortement, la peine capitale, l’immigration, et estimaient qu’elle pourrait être influencée par les forces politiques libérales.
Deux jours après sa nomination, un sondage CNN/USA Today/Gallup révélait que 44 % des répondants estimaient que le choix de Miers était «bon ou excellent», et 41 % «convenable ou mauvais». Les blogueurs conservateurs n’ont pas désarmé et ont continué à s’en prendre à la fragilité de la candidature de Miers. Tant et si bien, en fait, que quelques jours plus tard, un autre sondage, cette fois de SurveyUSA, révélait que seulement 12 % des répondants croyaient que le choix de Miers était une brillante décision, et 31 % que c’était une grave erreur.
Mercredi, le président Bush dans une entrevue accordée à la chaîne de télévision NBC s’est senti forcé de défendre le choix de Miers, mais de son côté Ken Mehlman, président du Republican National Committee (la haute instance du Parti du président Bush) s’engageait dans une opération de rattrapage pour le moins inusitée. Comme le rapporte le Financial Times, Mehlman a organisé un appel conférence pour discuter avec certains acteurs influents de la blogosphère de droite, pour parler, entre autres choses, du choix de Harriet Miers, et en expliquer les motifs. Un des blogueurs, le professeur de droit commercial à UCLA Stephen Bainbridge, résume les points abordés au cours de l’appel qui a duré un peu plus de 25 minutes. En plus de Bainbridge, soulignons Lori Bird de PoliPundit, Pat Hynes de anklebitingpundits, Matt Margolis de BlogsForBush, et Ed Morrissey de Captain’s Quarters.
Colmatage efficace? Oui dans le cas de Morrissey qui dit maintenant tendre à appuyer le choix de Miers, non dans le cas de Bainbridge qui affirme que son opinion adverse à Miers n’a pas changé, «beaucoup d’assurances et pas de faits» commente-t-il.
Efficace ou non, et ne tenant pas compte des sondages, l’opération de Mehlman prouve une chose, soit que l’administration Bush perçoit le pouvoir qu’ont les blogueurs d’influer sur l’opinion publique, qu’elle n’hésitera pas à leur demander leur appui.
[FIN]
[SOURCE]
http://cyberie.qc.ca/jpc/2005/10/tats-unis-blogues-et-politique.html
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mercredi, décembre 21, 2005
France Télécom monte sur la deuxième marche du podium des opérateurs ADSL

[SOURCE]
Différentes études montrent que la France se montre volontariste pour développer l'usage de l'ADSL. Le dernier pointage du DSL Forum fait état d'une remarquable progression du nombre d'abonnés français ayant adopté une technologie xDSL (voir édition du 19 décembre). C'est au tour de Dataxis de montrer que France Télécom a fourni un effort remarquable pour se hisser à la deuxième place du podium des opérateurs ADSL du monde.
Avec 6,4 millions d'abonnés ADSL à la fin du premier semestre 2005, le cabinet d'études considère l'ancien opérateur historique comme le principal challenger de China Telecom.
Mais le fossé entre les deux acteurs télécoms est grand puisque l'opérateur chinois affiche deux fois plus de clients connnectés à cette technologie haut débit. Derrière figurent des opérateurs comme l'américain SBC ou le coréen Korea Telecom.
En moins de trois ans, France Télécom est passé de la neuvième à la deuxième place du classement établi par Dataxis. L'opérateur rappelle les investissements consentis pour optimiser son réseau dans la période 2005-2007 : 3 milliards d'euros, dont un tiers de cette somme consacré aux réseaux haut débit dans l'Hexagone. D'ici fin 2006, France Télécom compte atteindre un taux de couverture en haut débit de 98% de la population française.
Le travail en coulisse de l'ART pour faire décoller l'ADSL en France
Cette "dynamique ADSL" de France Télécom est tempérée par l'Afors Télécom. "Chacun sait que le décollage de l'ADSL en France est dû aux décisions du régulateur [l'ART en l'occurrence, NLDR] à partir de 2002, qui ont stimulé l'investissement de France Télécom et libéré l'investissement des concurrents, jusque-là bloqués par des conditions de concurrence inéquitables", affirme le club des opérateurs alternatifs sur son site Internet.
L'Afors Télécom a récemment mis à jour son tableau de bord des investissements des opérateurs de communications électroniques en France, incluant les chiffres du premier semestre 2005.
Les acteurs télécoms alternatifs affirment que leur effort d'investissement dans leurs réseaux respectifs par rapport à leurs chiffres d'affaires reste trois fois supérieur à celui de l'opérateur historique.
Nombre de clients ADSL à la fin du 1er semestre 2005 :
1-China Telecom (12,4 millions d'abonnés)
2-France Télécom (6,094 millions)
3-SBC (USA, 5,968 millions)
4-CNC (Corée du Sud, 5,7 millions)
5-Korea Telecom (Corée du Sud, 5,542 millions)
6-Soft Bank (Japon, 5,350 millions)
7-Telecom Italia (4,579 millions)
8-Deutsche Telekom (4,2 millions)
9-Telefonica (Espagne, 4,037 millions)
10-Verizon (USA, 4 millions)
Source: Dataxis
[FIN]
[SOURCE]
et
[LIENS]
Marché de gros ADSL : lourde condamnation de France Télécom
[SAM]
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Google prend 5% d'AOL, partenariat élargi dans la publicité

[DEBUT]
NEW YORK (Reuters) - Le moteur de recherche sur internet Google (GOOG) et America Online, filiale de Time Warner, confirme l'élargissement de leur partenariat dans la recherche et la publicité, écartant Microsoft (MSFT) qui s'intéressait également à l'activité de recherche d'AOL.
Time Warner précise que Google (GOOG) investira un milliard de dollars dans une participation de 5% dans AOL dans le cadre d'un accord renforcé, permettant notamment de développer les annonces publicitaires en ligne.
La participation valorise de fait AOL à 20 milliards de dollars, un seuil clé si Time Warner choisit la solution de la scission ou de la vente d'une partie de sa division internet en réaction à la campagne menée par l'actionnaire dissident Carl Icahn pour obtenir le démantèlement du groupe.
Avant l'annonce, les analystes estimaient que le nouvel accord constituait une victoire défensive majeure pour Google (GOOG), privant Microsoft d'un client important qui aurait donné un coup d'accélérateur à sa stratégie visant à concurrencer Google (GOOG) sur le marché des services publicitaires en ligne.
Dans une lettre adressée au conseil d'administration de Time Warner et publiée lundi, le milliardaire Carl Icahn qualifiait un éventuel accord AOL-Google de "désastreux" parce qu'il pourrait exclure des alliances futures potentielles entre AOL et des concurrents de Google (GOOG) comme le site de ventes aux enchères eBay ou Microsoft (MSFT).
[FIN]
[SOURCE]
http://www.capital.fr/Actualite/Default.asp?source=RE&numero=76665&Cat=SOI
[LIENS]
Google pourrait prendre 5 % d'AOL -à la barbe de Microsoft
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12918
AOL + Google: un (futur) 'mariage désastreux' ?
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12951
[SAM]
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mardi, décembre 20, 2005
Comment faire une recherche par date sur le Web ?

[DEBUT]
Comment faire une recherche sur le Web en tenant compte des dates de dernière modification des pages web ? Par exemple, comment rechercher les pages qui contiennent un mot donné et qui ont été mises à jour entre le 1er juillet et le 30 octobre 2005 ?
Google propose plusieurs possibilités d'effectuer cette requête :
1. Dans sa recherche avancée (http://www.google.fr/advanced_search?hl=fr), vous pouvez utiliser le menu "Date > Lister les pages Web mises à jour pendant la période spécifiée". Trois possibilités sont proposées : les 3, 6 ou 12 derniers mois...Avantage : c'est très simple. Inconvénient : pas d'autre choix possible que les trois proposés et de plus, il n'est pas possible d'établir une recherche sur une date de départ et une date de fin. Toutes les requêtes s'effectuent à partir d'une date de départ jusqu'à aujourd'hui.
2. Si vos besoins sont plus importants, vous pouvez utiliser l'option de recherche "daterange:". Sa syntaxe est la suivante :
motclé daterange:datedébut-datefin
Exemple :abondance daterange:2453700-2453707
Petit détail qui saute ici aux yeux : les dates sont indiquées dans un format spécial, appelé format Julien (son nom vient de Jules César...). Pour effectuer vos recherches, vous devrez donc convertir vos dates dans ce format. Heureusement, des outils existent en ligne pour effectuer cette conversion de façon automatique.
Attention également : la fonction "daterange:" a parfois tendance à fonctionner de façon un peu "bizarre" et pas toujours très fiable sur Google. Vérifiez bien les résultats !
Hormis Google, qu'en est-il des autres outils de recherche majeurs ?
- Yahoo! propose la même fonction de recherche que Google dans sa recherche avancée. Nous n'avons pas trouvé trace d'une syntaxe d'interrogation de type "daterange:" sur Yahoo!.
- Sur MSN, il semble possible d'ajouter l'expression "{frsh=X}" à la requête pour influencer la recherche sur les pages plus ou moins mises à jour récemment. La requête "abondance {frsh=0}" retournera plutôt des pages très récemment mises à jour, alors que "abondance {frsh=100}" retournera les réusltats filtrés sur la base des pages les moins récentes proposées en premier. Mais il ne semble pas possible d'effectuer une recherche spécifiquement sur une fourchette de dates données.
- Exalead propose, dans sa recherche avancée, la possibilité d'effectuer une recherche depuis une date donnée (sous la forme JJ/MM/AAAA) jusqu'à aujourd'hui.
[FIN]
[SOURCE]
http://docs.abondance.com/question90.html
[SAM]
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Relever ses émails Gmail sur portable

[DEBUT]
Il est désormais possible de relever ses courriels Gmail sur son téléphone portable, y compris en France, et ce quel que soit son opérateur. Rendez-vous pour cela simplement, dans votre navigateur Wap, sur www.gmail.com. La première page affichée, l’accueil, n’est pas une réussite. Mais les suivantes, à l’intérieur du compte, permettent de gérer convenablement ses courriels: les recevoir, y répondre et même les marquer d’un étoile. À noter que, comme sur la version web, l’identifiant et le mot de passe peuvent être véritablement mis en mémoire, ce qui évite d’avoir à les entrer depuis le téléphone à chaque connexion.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.engadget.com/entry/1234000410072842/
[SAM]
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Microsoft a officiellement arrêté le développement d'IE pour Mac

[SAM]
Internet Explorer sur Mac, c’est définitivement terminé, ou presque. Le 31 décembre prochain, Microsoft mettra un terme au support du logiciel. Et cela, dans une indifférence quasi généralisée. Il faut dire aussi que le navigateur Internet a cessé d’exister ce jour de juin 2003 où l’éditeur le condamnait en annonçant qu’il n’y aurait plus de nouvelles versions à l’avenir. Il faut dire aussi, et peut-être plutôt, que le navigateur Internet, mal-aimé de ceux qui pourtant l’utilisaient encore plutôt qu’un autre, n’avait en fait guère évolué depuis des mois et des mois, depuis la sortie d’une version 5 pour Mac OS Classic, très prometteuse à l’époque, à peine époussetée pour Mac OS X, et jamais vraiment revue depuis.
Il faut dire aussi, et surtout peut-être, que depuis le passage à Mac OS X, les solutions alternatives n’ont pas manqué. OmniWeb d’abord avait suscité un certain intérêt, sans jamais vraiment convaincre. Camino, un temps, a su intéresser et même susciter un vrai engouement, au point que les utilitaires le complétant, permettant notamment de récupérer automatiquement les fameuses "nightly builds", ces versions de développement pas toujours stables, se sont multipliés. Firefox, aussi, évidemment, sur Mac comme sur PC, a rencontré son public et s’est vite affiché comme le concurrent dangereux (sans jamais encore toutefois mettre vraiment à mal la suprématie du butineur de Microsoft si l’on regarde les chiffres, toutes plates-formes confondues). Mais c’est surtout le lancement de Safari, avant même celui de Firefox d’ailleurs, qui a marqué les esprits des utilisateurs Mac et leur a fait comprendre qu’il existait une alternative. Présenté en janvier 2003, il y aura bientôt trois ans, proposé dans une première version bêta, le "turbo browser" est rapidement installé d’office avec Mac OS X. Il a pour lui plus que la nouveauté, il a une certaine élégance, la rapidité d’affichage et, avant tout, un vrai support qui multiplie les versions pour le tenir à jour.
Dans ces conditions, l’annonce de juin 2003 n’avait alors surpris personne. Elle avait en revanche inquiété : et si Microsoft arrêtait aussi ses autres développements pour Mac ? Et si Office venait lui aussi à disparaître ? C’est que cette histoire illustre finalement les relations paradoxales des utilisateurs Mac avec les produits Microsoft. Inutile de donner la liste des périphrases qui désignent l’éditeur de Redmond. Elles sont rarement flatteuses. Ses produits, pourtant, continuent d’être installés massivement sur les disques durs. Le lancement de Keynote d’abord, de Pages surtout a indirectement ravivé le spectre d’un abandon d’Office Mac, spectre qui a gagné encore en consistance avec l’annonce du passage à Intel en juin dernier. Microsoft a beau avoir déclaré dans la foulée qu’il suivrait le mouvement, il a beau affirmer à qui veut l’entendre que tant qu’il y aurait de l’argent à gagner il suivrait ce même mouvement, tout le monde n’est pour autant pas rassuré.
En attendant, alors qu’il n’est plus installé avec nos Mac, Internet Explorer reste disponible au téléchargement depuis le site de Microsoft. Pour quelques jours seulement. Il n’a pas été revu en profondeur depuis plus de cinq ans ; il n’empêche, il est encore utilisé par certains pour accéder à des sites qui ne fonctionnent pas avec Safari…
[FIN]
[SOURCE]
http://www.macgeneration.com/mgnews/depeche.php?aIdDepeche=118901
[SAM]
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Yahoo adopte les standards publicitaires de Google

[DEBUT]
Yahoo! Search Marketing réduit la longueur de ses textes publicitaires à 70 caractères… comme Google !
Google offre à ses annonceurs deux lignes de texte de 35 caractères chacune. La place du moteur de recherche dans la publicité contextuelle en fait une référence de fait, ce qui n'a pas échappé à Yahoo!.
Le portail Internet propose en effet avec Yahoo! Search Marketing (YSM) 190 caractères pour le texte d'accroche de ses publicités. Sans doute trop pour satisfaire le client, semble affirmer Yahoo!n, qui a réduit ce texte à une ligne de 70 caractères.
"Nos recherches nous ont montré qu'en faisant évoluer l'expérience de recherche dans cette voie, les annonceurs peuvent généralement espérer augmenter les clics, tout en maintenant le taux de conversion", affirme Yahoo! dans un courrier à ses annonceurs.
Ces derniers ont donc jusqu'au 18 janvier pour réduire la taille de leurs publicités. Passée cette date, Yahoo! procédera automatiquement à la troncature des textes.
Il n'est pas certain que les annonceurs trouvent la modification à leur goût ! Passer de 190 à 70 caractères va les forcer à une gymnastique intellectuelle dont l'importance dépendra du volume d'annonces, mais aussi du contenu des annonces. Et en plus avec un délai d'exécution plutôt bref et qui couvre les fêtes de fin d'année !
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12950
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
La dernière mise à jour d'IE pose un problème

[DEBUT]
Le souci concerne les internautes qui ont déjà testé le nouveau navigateur IE7 sur leurs PC.
L'information remonte d'un manager en charge du projet. Jeremy Dallman indique sur l'un des nombreux blogs du groupe qu'il a rencontré plusieurs soucis après l'installation du dernier patch de sécurité de Microsoft.
De son côté, Microsoft a également reçu des messages d'utilisateurs qui ont rencontré des problèmes similaires dans le navigateur.
Trois problèmes principaux ont été relevés dans ces rapports : tout d'abord, le navigateur peut planter dés son démarrage, les liens sont souvent "blank", et plusieurs fenêtres s'ouvrent quand le navigateur se lance.
Dallman écrit sur son blog : "après avoir étudié ces différents rapports, nous sommes arrivés a une conclusion. Le principal coupable est IE7, la future version du navigateur, qui n'est disponible qu'en version bêta". Selon lui, " les problèmes n'apparaissent que si la version 7 d'Internet explorer est installée sur une machine disposant déjà d'IE6. Cette double configuration n'est pas supportée par la mise à jour".
Dallman indique sur le blog dédié au problème que "lorsque la première version bêta d'IE7 est installée en plus de la version 6 cela provoque l'enregistrement d'une clé dans le registre Windows dés la première utilisation." Par conséquent le problème lié à l'installation de la mise à jour peut être résolu si la mauvaise clé est effacée du registre.
Le problème ne touche pas beaucoup d'utilisateurs car la version 7 du navigateur n'a pas été largement distribuée.
Microsoft a indiqué dans un communiqué qu'une version bêta de IE7 serait disponible avant la fin du mois de mars 2006.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12935
[SAM]
Comme d'habitude... c'est Microsoft.
lundi, décembre 19, 2005
Scientifiques, blogs et partage de données

[DEBUT]
C’est un éditorial du journal Nature, dans sa dernière livraison, qui le clame : “Laissez les données parler aux données” : “Les outils web facilitent le partage des données et offrent de l’espace aux débats informels autour des publications scientifiques. Mais pour en tirer pleinement avantage, les scientifiques doivent embrasser la culture du partage et revoir leur vision des bases de données.” Les clés de cette transformation, explique l’édito, reposent sur les licences Creative Commons, les blogs et leur haut facteur d’impact, les bases de données partagées et lesweb services.
Un éditorial qui fait écho aux interrogations récentes sur les universitaires qui bloguent. Est-ce sérieux et compatible avec une carrière scientifique, s’interrogent certains ? Les scientifiques qui bloguent ne risquent-ils pas leur job ?, se demande Robert S. Boynton pour Slate. “Beaucoup perçoivent les blogs comme l’indication d’un manque de sérieux. Les scientifiques qui bloguent ne devraient-ils pas plutôt passer plus de temps à étudier et moins à bloguer ? Et si un blogueur a quelque chose de sérieux à dire, pourquoi le présente-t-il dans un médium superficiel plutôt que dans une publication validée par des scientifiques ? (…) Mais d’un autre côté, le bloging universitaire représente plutôt la maturation, que la trahison, des idéaux universitaires” Si le propos de certains blogs universitaires est plus engagé que l’expression académique courante, la plupart du temps la pensée de l’auteur n’en est pas moins rigoureuse ou intelligente. Le blogging serait-il subversif parce qu’il fait sortir la vie intellectuelle des petits cercles universitaires ? Le fait de bloguer doit-il être inclus dans l’enregistrement des publications scientifiques ?
“L’antipathie actuelle envers cette activité provient probablement du fait que l’Université n’a pas d’outils pour apprécier ce que les contenus de ces blogs. Et beaucoup pensent que les blogs devraient être évalués à travers un mécanisme de validation par les pairs, au même titre que les autres publications scientifiques.” Pour Michael B. Eisen, professeur de Biologie à Berkeley et un des cofondateurs de PloS (Public Library of Science), les scientifiques blogueurs affrontent des défis semblables à ceux qui publient dans des revues open-source comme la sienne. Reste à savoir comment évaluer le facteur d’impact scientifique des blogs, quand bien souvent l’audience et les commentaires sont aussi à prendre en compte. Car incontestablement “Internet rend poreuses les frontières des communautés de pratiques”, signale avec raison Martin Lessard.
Daniel Drezner, scientifique et blogueur influent, qui s’est vu refuser sa titularisation à l’université de Chicago en partie du fait de son blog, comme le raconte Jean-Pierre Cloutier, a pesé le pour et le contre avant de choisir et de continuer à bloguer. Olivier Ertzscheid, également scientifique et blogueur, a entrepris une cartographie des scientifiques français blogueurs, et reprend à son compte cette conclusion d’un article du New York Sun : “Pour les universitaires, bloguer n’est pas un hobby, c’est une part intégrale de leur identité savante”. Pour Jean Véronis également, après un an de blogging sur Technologies du langage : “Le blog est une formidable école de la rigueur, et de la modestie…”
Tous les universitaires ne bloguent pas encore que d’autres universités se lancent de nouveaux défis, comme le podcast (ou balladodiffusion) pour Stanford. La prestigieuse université américaine vient récemment de donner accès aux fichiers audio de ses cours et conférences en utilisant le logiciel iTunes d’Apple (via Affordance). Une autre manière de se rendre simplement disponible à une communauté plus large d’utilisateurs que les seuls universitaires.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.futura-sciences.com/news-scientifiques-blogs-partage-donnees_7784.php
[LIENS]
La déferlante des spam blogs
http://www.futura-sciences.com/news-deferlante-spam-blogs_7401.php
Skyblog : le roi des blogs en passe de disparaître ?
http://www.futura-sciences.com/news-skyblog-roi-blogs-passe-disparaitre_6454.php
Quand les blogs installent des spywares dans vos PC
http://www.futura-sciences.com/news-quand-blogs-installent-spywares-vos-pc_5623.php
En 2005 le vidéo-blogging va-t-il surpasser le podcasting ?
http://www.futura-sciences.com/news-2005-video-blogging-va-t-il-surpasser-podcasting_5307.php
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
6,5 milliards d’humains sur la planète aujourd'hui !
[DEBUT]
6,5 milliards d’habitants en 2005 : c’est le chiffre annoncé par les démographes il y a 50 ans, lorsque la population mondiale n'en comptait que 2,7 milliards. Ils ne se sont pas trompés ! D’après les statistiques de population des Nations unies, c’est aujourd'hui que le chiffre de 6,5 milliards sera atteint.
Et après ?
15 milliards d’habitants sur Terre en 2050. Autre prévision des démographes voici 50 ans. Et là, ils seront sûrement démentis. Ce sera au plus 8 à 9 milliards ! La croissance de la population mondiale décélère plus vite qu’attendu. Aujourd’hui, la moitié de l’humanité vit dans un pays où la fécondité est faible.
Cette décélération de la croissance démographique vient de la baisse de la fécondité, quasi générale dans le monde. Plus de la moitié de l’humanité vit dans un pays ou une région du monde où la fécondité est en dessous de 2,1 enfants en moyenne par femme (niveau assurant le remplacement des générations).
Gérer l’accroissement de la population mondiale
Même si la croissance démographique décélère d’année en année, la population mondiale va continuer à augmenter dans les prochaines décennies. Comment accueillir les 2 à 3 milliards d’habitants en plus ? Le défi est d’autant plus grand que cet excédent de population se concentrera dans les continents du Sud, les continents du Nord devant garder la même population ou presque. L’Afrique verra en particulier sa population multipliée par deux. Ses différents pays ont déjà du mal à rattraper leur écart de développement avec le reste du monde. Vont-ils pouvoir gérer en même temps un doublement de leur population ?
Un seuil symbolique .
Le nombre des être humains est connu à quelques pour cent près, il est donc possible que le seuil de 6,5 milliards ait déjà été franchi il y a un ou deux ans, ou qu’il le soit dans un ou deux ans. Il n’empêche, les tendances démographiques mondiales sont bien connues et permettent d’annoncer 8 à 9 milliards en 2050.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.futura-sciences.com/news-6-5-milliards-humains-planete-aujourd-hui_7819.php
[LIENS]
9,1 milliards de Terriens... et moi, et moi, et moi !
http://www.futura-sciences.com/news-91-milliards-terriens-moi_5654.php
Répondre aux besoins de santé d'une population vieillissante
http://www.futura-sciences.com/news-repondre-besoins-sante-population-vieillissante_4398.php
Impact de l'accroissement de la population mondiale sur la biodiversité animale
http://www.futura-sciences.com/news-impact-accroissement-population-mondiale-biodiversite-animale_2196.php
La population du monde pour les trois siècles à venir : explosion, implosion ou équilibre ?http://www.ined.fr/publications/pop_et_soc/pes408/408.pdf
La majorité de l'humanité vit dans un pays où la fécondité est basse http://www.ined.fr/publications/pop_et_soc/pes405/405.pdf
[SAM]
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La téléphonie illimitée à l'étranger chez 9Telecom

[DEBUT]
Après le fournisseur d'accès Internet Free, c'est au tour de Neuf Telecom de se lancer dans la téléphonie illimitée vers l'étranger. Confirmant la volonté des prestataires Internet à devenir de véritables opérateurs téléphoniques, l'offre de Neuf Telecom concerne les numéros fixes de toute une série de pays étrangers à commencer par l'Union Européenne, l'Amérique du Nord, l'Inde et la Chine. Les abonnés Neuf Telecom pourront téléphoner gratuitement et de manière illimitée vers ces contrées sans supplément de coût, moyennant leur abonnement mensuel de 29,90 euros. Les appels vers les mobiles aux Etats-Unis sont également gratuits.
Face à la toute nouvelle donne chez Neuf Telecom, l'offre de Free est plus restreinte puisqu'elle ne concerne que l'Allemagne, l'Angleterre, l'Australie, l'Autriche, le Canada, la Chine, l'Espagne, les Etats-Unis, l'Irlande, Israël, les Pays-Bas, le Portugal et Singapour. Entrant en vigueur dès le 25 décembre de cette année, cette nouvelle offre tarifaire qui concerne les anciens et nouveaux abonnés, devrait couvrir près de 50% de la population mondiale. Neuf Telecom espère ainsi séduire de nouveaux abonnés tandis que sa filiale Cegetel, devrait offrir une telle extension dans le courant du premier trimestre 2006.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.clubic.com/actualite-30184-la-telephonie-illimitee-a-l-etranger-chez-9telecom.html
[LIENS]
Freebox : appels à l'étranger inclus et illimités
http://www.clubic.com/actualite-30124-freebox-appels-a-l-etranger-inclus-et-illimites.html
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
Gmail (Google) s'invite sur les mobiles

[DEBUT]
Google réplique à Microsoft: son service de messagerie sera très prochainement accessible à partir de téléphones portables 'smartphones' ou PDA.
L'e-mail mobile est toujours au centre des préoccupations des géants de l'industrie. Après Microsoft, c'est au tour de Google de se positionner .
Le nouveau service (http://m.gmail.com/) est, pour l'heure, uniquement disponible aux Etats-Unis. Il fonctionne sur les 'smartphones' ou des PDA communicants dotés d'un navigateur Internet. Ses utilisateurs peuvent consulter leurs mails, accéder aux pièces jointes comme les photos et appeler des contacts dont les coordonnées figurent dans leur compte Gmail.
Il y a quelques jours, Microsoft annonçait l'arrivée de sa désormais célèbre plate-forme Windows Live pour les combinés multimédias dotés d'un navigateur Internet (et pas seulement Internet Explorer puisque les terminaux utilisant Opera ou NetFront sont également compatibles).
Windows Live pour mobile se décline en deux services. Les utilisateurs de 'smartphones' pourront accéder à Live Mail (qui remplacera à terme Hotmail) pour relever et gérer en ligne et en mobilité leurs e-mails. Live Mail mobile reprend la nouvelle version simplifiée du service dévoilée il y a peu (cf. notre article).
Ils pourront également utiliser Live Mobile Search, un outil permettant d'effectuer des recherches sur le Web, dans les fichiers et les documents.
En France, Bouygues Telecom a annoncé la gratuité des envois d'e-mails via son portail iMode haut débit.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12920
[LIENS]
Windows Live fait son entrée dans les mobiles
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12712
Google, comme Yahoo, lance des services mobiles
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12284
Nokia va mettre du Yahoo dans ses 'smartphones'
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=9552
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
vendredi, décembre 16, 2005
Microsoft cherche à créer des idées

[DEBUT]
Rester leader ! Tel est le mot d'ordre de la stratégie de Microsoft qui s'évertue à trouver de nouveaux axes de croissance. Il faut dire que depuis deux ans, la firme de Redmond voit se rapprocher les menaces.
Il n'est donc pas étonnant que le groupe mise désormais sur l'innovation pour se sortir de ce mauvais virage. Maintenant, Microsoft doit sortir de sa léthargie.
Interrogé par le quotidien « La Tribune » , Rick Rashid, le responsable de Microsoft Research confirme cette tendance stratégique :"Nous devons maintenir notre avantage industriel en proposant des usages innovants. Alors que la plupart de nos concurrents bâtissent leurs succès sur des technologies éprouvées."
Depuis l'inauguration de son premier centre de recherche en 1991 Microsoft multiplie les ouvertures. Et aujourd'hui MSR dispose de six laboratoires de recherche et dépense pas moins de 7 milliards de dollars par an en R&D. Et comme le souligne le quotidien économique dans ses colonnes 25.000 personnes travaillent sur ce que sera l'informatique de demain.
Pour rendre la stratégie de R&D encore plus efficace, Microsoft organise deux fois par an des festivals de l'innovation technologique, ces « Tech Fests » permettent aux différentes équipes de partager leur savoir-faire.
"Nous menons actuellement 55 projets. Nous travaillons essentiellement sur les systèmes d'exploitation, les outils logiciels, la reconnaissance vocale, le traitement d'images , l'interface homme-machine, le traitement des données médicales ou encore les ordinateurs quantiques" précise au quotidien Rick Rashid.
Plutôt que de multiplier le nombre de centres de recherche, Microsoft a décidé de favoriser les partenariats, notamment avec les universités. Il faut ainsi noter qu'après l'Italie et l'Espagne, la France va démarrer un partenariat avec Microsoft via l'Inria (Institut National de Recherche en informatique et en automatique) en janvier 2006.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12881
[LIEN]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=9542
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=9520
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
Alcatel a remporté le plus gros contrat DSL au Moyen-Orient avec Saudi Telecom

[DEBUT]
Saudi Telecom Company (STC), l'opérateur DSL le plus important du Moyen-Orient, a signé avec Alcatel un contrat de 15 million d'euros pour déployer 180 000 ports DSL dans tout le royaume sur une période de 12 mois.
Alcatel fournira à STC sa famille de produits ISAM (Intelligent Services Access Manager), une plate-forme modulaire et flexible qui permettra à l'opérateur de faire face à la demande croissante de services Internet et d'applications haut débit de haute qualité, telles que la télévision sur IP.
" La mise en place de la technologie IP DSLAM dans le réseau de Saudi Telecom va permettre de proposer à nos abonnés des services triple play. Elle fait partie de notre ambition d'offrir à nos clients les services les plus modernes et de la plus haute qualité dans tout le Royaume ", a déclaré Khaled Al-Mulhem, Président de STC .
[FIN]
[SOURCE]
http://www.alcatel.fr/home/news/sauditelecom.htm
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
40 Gb/s en Allemagne: merci Alcatel

[DEBUT]
Dommage que l'expression 'très haut débit' soit déjà utilisée. Car comment qualifier le nouveau réseau de transmission de données déployé par Alcatel en Allemagne et permettant un débit de 40 Gb/s ?
Ce système de transmission de données relie les universités de Stuttgart et de Karlsruhe, distantes de 105 kilomètres. L'équipementier français souligne que cette liaison directe entre deux super ordinateurs est la plus rapide d'Allemagne et qu'elle figure parmi les cinq plus gros centres mondiaux.
"Ce déploiement fait partie du réseau scientifique 'Baden-Württemberg Extended LAN' (BelWü) qui est financé par l'état du Baden-Württemberg et intégré dans l'association de recherche européenne GEANT", précise Alcatel dans son communiqué.
L'ensemble du réseau relie neuf universités, vingt-cinq lycées techniques, huit académies coopératives et d'autres institutions scientifiques du sud-ouest de l'Allemagne.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=12884
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
jeudi, décembre 15, 2005
Le portable à 100 dollars sera fabriqué par Quanta

[DEBUT]
Le nom du fabricant du portable à 100 dollars a été révélé. C'est la firme taiwanaise Quanta qui sera chargé de le produire. L'association "One laptop per child", dirigée par Nicholas Negroponte, a sélectionné le constructeur Quanta en tant que original design manufacturer (ODM) du projet.
Rappelons que le portable à 100 dollars est une initiative du MIT pour aider à l'éducation dans les pays en voie de développement. Il a été révélé lors du SMSI. Quanta espère pouvoir produire les premiers exemplaires du portable à 100 dollars ce mois-ci.
Le projet a immédiatement rencontré un succès puisque dès l'annonce de sa sortie, 4,5 millions de commandes avaient été enregistrées. Le président d'Intel, Craig Barrett, a exprimé publiquement ses doutes sur cet ordinateur qui n'est, pour lui, qu'un gadget.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.atelier.fr/informatique/portable,100,dollars,sera,
fabrique,quanta-31060-26.html
[LIENS]
http://www.atelier.fr/article.php?artid=31028&catid=26
http://www.atelier.fr/informatique/ordinateur,100,dollars,
recueille,45,millions,commandes-30625-26.html
http://www.atelier.fr/usages/ordinateur,portable,100,dollars,
est,concret-30508-8.html
http://www.atelier.fr/usages/smsi,portable,100,dollars,devoile,
mit-30849-8.html
[SAM]
PAS DE COMMANTAIRE
P2P : 75% des internautes favorables à une licence globale

[DEBUT]
Selon une étude de Médiamétrie pour le compte de la Spedidam, société de gestion des droits des artistes et interprètes, 75,6 % des internautes de 15 ans et plus sont favorables à un modèle forfaitaire payant pour pouvoir télécharger en toute légalité de la musique en ligne (ou encore des films et des images). Ils seraient ainsi prêts à débourser en moyenne 6,90 euros par mois.
Le sondage révèle que 42 % des personnes interrogées avouent avoir déjà téléchargé de la musique et des film via les réseaux peer-to-peer (P2P). En outre, "40% des internautes n'ayant jamais téléchargé sur des réseaux peer-to-peer échangent néanmoins des fichiers via e-mail ou messagerie instantanée avec leurs proches", ajoute l'étude.
Trois quarts des internautes interrogés estiment que la légalisation des échanges en ligne n'aurait pas d'impact sur leur consommation physique de biens culturels. Il sont 13 % à penser que leur consommation de CD et DVD augmenterait et autant à estimer qu'elle diminuerait probablement.
Ce sondage répond, indirectement, à celui réalisé les 24 et 25 novembre derniers par l'Ifop pour le compte du SNEP (syndicat des producteurs). Selon l'Ifop, 66 % des sondés jugeaient les sociétés éditrices de logiciels de téléchargement responsables du piratage. Un sondage censé justifier l'avis du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA) sur les mesures à prendre pour lutter contre les téléchargements illégaux d'œuvres culturelles
[FIN]
[SOURCE]
http://www.vnunet.fr/actualite/tpepme_-_business/vie_publique/20051215007
[SAM]
75% des internaute !!! j'ai une doute.
mercredi, décembre 14, 2005
Bientôt une procédure officielle pour les pétitions en ligne ?

[DEBUT]
Le député-maire d'Issy-Les-moulineaux, André Santini (UDF) a déposé une proposition de résolution pour modifier le réglement de l'Assemblée nationale: elle vise à créer «une procédure de pétition électronique». Il est soutenu dans sa démarche par une vingtaine de députés.
«Il est impératif de développer les outils de l'e-démocratie en France, afin de rester en phase avec des mutations comportementales et sociétales», écrit André Santini. Il estime que l'internet est un outil privilégié «pour accroître la transparence de l'action législative, et donner aux citoyens les moyens de participation dans la prise de décision qu'ils sont de plus en plus nombreux à exiger».
«Les expériences d'e-pétition en Ecosse et en Allemagne montrent qu'un tel dispositif apporte une réelle valeur ajoutée aux pratiques politiques pour les citoyens», poursuit-il. «Près de 1.000 pétitions en ligne ont été déposées au Parlement écossais depuis 1999.»
[FIN]
[SOURCE]
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39294965,00.htm
[LIENS]
http://eucd.info
[SAM]
Enfin les hommes politiques commencent à prendre compte de l'importance de la nouvelle technologie pour se mettre en phase avec la société...
La RFID, un marché à 3 milliards de dollars d'ici 2010

[DEBUT]
L'usage de la RFID (Radio Frequency Identification) va s'ancrer dans l'ensemble des secteurs industriels. Selon Gartner, le marché mondial lié à cette technologie d'identification sans contact s'élèvera à 3 milliards de dollars en 2010. A cette échéance, la valeur de ce marché aura sextuplé par rapport aux données actuelles. En 2005, le marché de la RFID représente un chiffre d'affaires de 504 millions de dollars, en hausse de 39 % par rapport à l'année précédente.
Le cabinet américain d'analyses IT estime toutefois que cette technologie ne doit pas être perçue, à court terme, comme un remplaçant du code à barres. Les deux outils vont coexister au sein des entreprises pendant un certain temps.
Mais la RFID dispose d'un potentiel plus élevé dans le domaine de la traçabilité des produits ainsi que des personnes. Parmi les secteurs ayant adopté de manière précoce cette technologie figurent la vente au détail, l'aéronautique et la défense mais aussi les domaines de la santé, de la logistique et de la pharmacie.
Toutefois, le cabinet d'études note quelques limites à l'usage de la RFID, notamment pour des prestations de logistique ou le transport maritime, estimant que les technologies actuelles "restent immatures".
Gartner vient de diffuser sur le sujet une étude, très synthétique, intitulée "RFID enables sensory network strategies to transform industries", ainsi qu'un rapport de prospective plus dense ("Market Share and Forecast : Radio Frequency Identification, Worldwide, 2004-2010".
[FIN]
[SOURCE}
http://www.vnunet.fr/actualite/telecommunications/
technologie_sans_fil/20051213006
[LIENS]
RFID Journal
http://www.rfidjournal.com/
Blog with news and discussion about radio frequency identification RFID.
http://www.rfidgazette.org/
RFID WebBlog
http://www.rfid-weblog.com/
[SAM]
Enfin on a decidé d'investir pour évoluer ce bon concurrent de WIFI...
Emeutes à Sydney: renforcement de la police

[DEBUT]
Plus de 450 policiers ont été déployés mardi à Sydney pour prévenir une 3e nuit d'émeutes à connotation raciale.
Les violences ont éclaté dimanche à Sydney lors d'une manif de soutien à deux sauveteurs agressés par des jeunes. La manifestation a rapidement dégénéré, tournant à l'agression d'estivants d'origine arabe ou jugés comme tels.

Les heurts sont survenus sur la plage de Cronulla où plus de 5.000 personnes s'étaient rassemblées.
Le Parlement de Nouvelle-Galles du Sud se réunira en session extraordinaire jeudi pour donner à la police des pouvoirs spéciaux lui permettant de boucler certains quartiers afin d'enrayer les troubles.
La police pourra aussi limiter la consommation d'alcool dans ces quartiers en fermant les débits de boisson et en interdisant à la population de circuler avec de l'alcool.
Le Parlement de l'Etat portera par ailleurs de cinq à quinze ans de prison la peine prévue pour faits d'émeute et de cinq à dix ans la peine pour participation à des bagarres sur la voie publique.
Une trentaine de personnes, dont six policiers, ont été blessées et seize autres ont été interpellées après ces heurts.
Agitants des drapeaux australiens et entonnant des chants racistes, des groupes de jeunes Australiens, ivres pour la plupart, s'en étaient pris à des passants, notamment à une femme de confession musulmane à qui ils ont arraché son foulard, selon les médias locaux.
"S'en prendre à des gens en raison de leur race, de leur apparence, de leur appartenance ethnique est totalement inacceptable et devrait être rejeté par tous les Australiens quelles que soient leur éducation ou leurs convictions politiques", avait dénoncé lundi le Premier ministre John Howard lors d'une conférence de presse.
Il a toutefois rejeté l'idée selon laquelle ces violences aient pu être attisées par les récentes mises en garde du gouvernement contre d'éventuelles attaques terroristes.
[FIN]
[SOURCE]
France2 : http://info.france2.fr/monde/16484657-fr.php
[LIENS]
Courrier International
http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=58206&provenance=asie&bloc=01
Libération
http://www.liberation.fr/page.php?Article=344647
[SAM]
Bienvenue Australie dans la liste des pays RACISTE...
mardi, décembre 13, 2005
Fusion TPS-CanalSat: les frères ennemis s'adaptent aux réalités économiques

[DEBUT]
Les actionnaires du bouquet TPS et du groupe Canal+, frères ennemis de la télévision à péage, envisagent désormais de s'allier suivant le principe que mieux vaut un seul acteur réellement que deux acteurs qui le seraient moins, dans un univers ultra-concurrentiel.
Vivendi Universal, qui détient 100% du Groupe Canal+, TF1 et M6, qui possèdent respectivement 66% et 34% de TPS, ont annoncé dimanche qu'ils avaient entamé des négociations "visant à aboutir à un accord industriel".
Une fusion des deux bouquets satellite français TPS et CanalSat (détenu à 66% par le Groupe Canal+ et à 34% par Lagardère) est un vieux serpent de mer. Le groupe Canal+ faisait des appels du pied depuis des années, tandis que Patrick Le Lay, PDG de TF1, ne voulait pas en entendre parler.
Les négociations se sont finalement ouvertes sous les pressions conjuguées d'une concurrence féroce qui coûtait très cher aux deux bouquets en termes d'acquisition de droits (football, cinéma) et de coûts de recrutement d'abonnés, et d'une concurrence issue de nouveaux modes de distributions de la télévision comme l'ADSL.
Les différents acteurs ne se sont pas exprimés sur les modalités d'un rapprochement. On ignore si tous les actionnaires resteraient ou non au capital de la nouvelle entité - M6 était donné sortant de TPS depuis quelques mois - quelles seraient les parités en cas de fusion, si celle-ci se résumerait aux activités de distribution ou concernerait l'édition de chaînes...
[FIN]
[SOURCE]
http://www.24heures.ch/vqhome/le_journal/vqnews.detailcateg.YWZ
wLmNvbToyMDA1MTIxMjowNTEyMTIxMjE2MDYuNWQ1ZGgybT
M6Mw==.4.0.html
[SAM]
Quand les grands se réunissent, les petits ...
Opération contre des diffuseurs illégaux de films sur internet

[DEBUT]
Trente personnes, soupçonnées d'avoir participé en France, en Suisse et au Canada à la diffusion illégale de films sur internet, ont été interpellées lundi lors d'une vaste opération menée dans ces trois pays, a annoncé la gendarmerie.Parmi ces trente personnes, 28 ont été interpellées en France et deux en Suisse, a précisé la gendarmerie dans un communiqué, ajoutant que 9500 films différents ont ainsi été téléchargés par des internautes qui s'étaient connectés sur un forum nommé «GGTEAM».L'opération a été menée en France par une centaine de gendarmes, assistés de spécialistes des nouvelles technologies, à la suite d'une longue enquête de la brigade de recherches de Paris a-t-on précisé de même source. Selon le communiqué, le préjudice occasionné aux professionnels du cinéma et de la musique est «très important».
[FIN]
[SOURCES]http://www.edicom.ch/news/suisse/051212221155.mo.shtml
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
lundi, décembre 12, 2005
2006 : année de l'administration en ligne

[DEBUT]
C'est par la voix de son ministre délégué à la Réforme de l'Etat, Jean-François Copé, que le gouvernement annonce faire de 2006, l'année clé de l'administration électronique. " Tous les dispositifs vont monter en puissance, nous allons passer à la vitesse supérieure ". Ainsi, la capacité d'accueil de la télé-déclaration de l'impôt va passer de 3,7 millions de personnes en 2005 à 10 millions en 2006.
Autre annonce non dénuée d'intérêt, celle de la création d'un service de demandes d'acte de naissance en ligne. Pour ce service accessible en juin prochain, les citoyens nés en France pourront obtenir une copie de l'extrait de leur acte de naissance sans devoir se déplacer jusqu'à leur mairie. On nous promet également 60 % des formulaires disponibles en ligne d'ici fin 2006 et 100% dans le courant de l'année 2008.
Selon une enquête de l'Agence pour l'administration en ligne, 90 % des utilisateurs apprécient la qualité des services offerts; plus de 60 % sont très satisfaits ; 77 % vont même jusqu’à recommander à d’autres les services en ligne qu’ils utilisent. Principaux avantages avancés, le gain de temps et d'argent notamment pour les entreprises.
[FIN]
[SOURCE]
http://www.generation-nt.com/actualites/10724/administration-en-ligne-services
[LIENS]
www.service-public.fr
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
Les australiens ne pourraient plus utiliser Kazaa ?

Ce message a été affiché pendent un certain temps dans un gros cadre rouge sur la page d'accueil du site dédié à Kazaa :
"À l'attention des utilisateurs en Australie : Conformément à ce qui a été ordonné par la Cour Fédérale d'Australie, en attendant un appel en février 2006, l'utilisation de Kazaa Media Desktop n'est pas permise pour les personnes en Australie. Si vous êtes en Australie, vous ne devez pas télécharger ou utiliser Kazaa Media Desktop."
Ce message a été remplacé plus tard par un autre message plus court dans la page destinée à l'australie http://au.kazaa.com/ :

Ces message seront-ils le résultat d'une décision de Kazaa de régler le problème par la manière la plus simple, qui serait de ne pas modifier le logiciel comme prévu, le laissant illégal pour l'Australie, mais légal à lui-même dans le reste du monde ?
La société Sharman Networks, propriètaire de Kazaa, a répondu à cette question en indiquant qu'elle est actuellement en train de plancher sur une technologie basée sur « l'empreinte acoustique » de chaque titre qui permettrait d'identifier et de différencier les fichiers audio légaux et illégaux.
[FIN]
[LIENS]
http://au.kazaa.com/
Paris-SansFil : est un groupe de personnes qui œuvrent pour le développement des réseaux sans fils à Paris.

[DEBUT]
Nous souhaitons que ce nouvel outil qu'est le wifi puisse devenir un bien qui profite à tous et sans que cela soit forcément lié à une recherche de profit. Les réseaux sans-fil peuvent devenir un outil fait par et pour les citoyens et un nouvel espace de liberté. C'est le but que poursuit Paris-SansFil.
Nous pouvons également dire que Paris-SansFil a le désir de représenter les particuliers prêts à s'investir dans le projet et à faire entendre leur voix auprès des autorités légales.
Vous pouvez trouver sur ce site toutes les informations nécessaires à l'installation d'un équipement wifi (que ce soit en tant qu'utilisateur ou en tant que relais), des FAQs sur les sujets importants (technique, sécurité, matériel, réseau, architecture, etc), des tutoriels sur la construction des antennes, l'installation d'un relais.
Plus encore, le site web est un site wiki, cela signifie que vous pouvez non seulement le consulter, mais également participer à la rédaction des articles, des infos, des news...
[FIN]
[SOURCE]
http://www.paris-sansfil.info/
[LIENS]
Île Sans Fil est un groupe communautaire à but non lucratif qui a pour mission de fournir un accès à internet sans fil public et gratuit aux utilisateurs de portables et de PDA à travers la ville de Montréal au Canada.
http://www.ilesansfil.org/
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
dimanche, décembre 11, 2005
Les "racailles de France" affichent leur colère

[DEBUT]
De loin, cela pourrait s'apparenter à une plaisanterie. Ce n'en est pas une. Depuis le début de la semaine, des "plaques commémoratives" inédites fleurissent sur les murs de Paris. Le contenu n'est pas anodin. Les auteurs sont culottés. Florilège : "A la mémoire des grands-parents de la racaille venus défendre la France chaque fois qu'elle était en guerre. (...) En avril 1917, ils étaient 170 000 à se battre aux côtés des Français. Leurs enfants et petits-enfants méritent la patrie." Ou encore : "Hommage aux centaines de milliers d'immigrants venus construire et reconstruire une France qui maintient depuis toujours leurs enfants et petits-enfants au ban de sa société. A quand une loi sur le rôle positif de l'immigration ?" Au total, dix messages différents, signés : "Les racailles de France".
Lundi 5 décembre, à 17 h 31, "Les racailles de France" annoncent dans un communiqué de presse solennel qu'ils viennent de déposer "300 plaques commémoratives dans Paris en l'honneur de leurs parents et de leurs grands-parents, qui ont tout donné pour une France qui n'a aucune considération ou presque pour leurs petits-enfants". Le Monde a pu rencontrer quatre membres du noyau dur de ce "groupuscule". Ils souhaitent garder l'anonymat.
[FIN]
[SOURCE]
LE MONDE 09.12.05 14h55 • Mis à jour le 09.12.05 15h30
[LIENS]
"Racaille" : Sarkozy ne regrette pas le terme
http://info.france2.fr/violences-banlieues/15623884-fr.php
[SAM]
PAS DE COMMENTAIRE
mercredi, décembre 07, 2005
Kolchi
[SAM]
« Kolchi » est un mot arabe qui signifie TOUT…
Dans ce Blog, je vais aborder « kolchi » : politique, religion, éducation et pourquoi pas l'informatique et tout autre domaine scientifique qui peut me paraître intéressant ?!
Je vais mettre « kolchi » mais pas n'importe quoi. Je vais essayer que les sujets soient ciblés et variés ; je ne vais rien inventer : toutes mes références seront citées.
A+
[FIN]
« Kolchi » est un mot arabe qui signifie TOUT…
Dans ce Blog, je vais aborder « kolchi » : politique, religion, éducation et pourquoi pas l'informatique et tout autre domaine scientifique qui peut me paraître intéressant ?!
Je vais mettre « kolchi » mais pas n'importe quoi. Je vais essayer que les sujets soient ciblés et variés ; je ne vais rien inventer : toutes mes références seront citées.
A+
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